Leibniz, Akademie-Ausgabe, Bd. I, 23 - Gottfried Wilhelm Leibniz ...

N. 420 friedrich von steinberg an leibniz, 27. Juli 1704 573
Prinz Eugéne über den Marechal de Tallard erhaltenen avantage hat nicht continuirt. weil
man hier nachricht bekommen, ob stünden die beiden Marechaux, jez-gedachter Tallard
vnd Villeroy nun bey-samen, vnd Prinz Eugéne mit seinem erlangten renfort nicht weit
davon, erwarttet man mit Verlangen, wie es ab-lauffen werde. Ich recommendire mich
ubrigens gehors. vnd beharre 〈...〉 5
420. FRIEDRICH VON STEINBERG AN LEIBNIZ
Brüggen, 27. Juli 1704. [374.]
Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 896 Bl. 20–21. 1 Bog. 4 o . 3 S. Eigh. Aufschrift. Siegel.
Postverm. Auf Bl. 20 r o oben links Vermerk von Leibniz’ Hand: ” resp.‘‘. Bibl.verm.
Je Vous dois la réponse à deux de vos lettres que Vous m’avez fait l’honneur de 10
m’ecrire, je n’y aurois pas manqué si long temps si je n’avois pas creû de temps en temps
de Vous voir à Wolffenbuttel, mais comme vostre incommodité à la jambe Vous en a
empeché jusques icy[,] je n’ay pas voulu tarder plus long temps, pour m’acquiter de mon
devoir et pour Vous dire que j’attends icy Mons r d’Alvensleben avec Mad e sa Femme
aux premiers jours[,] et pour le plus tard il disnera icy Mercredi qui vient, ainsi qu’il 15
ne depend que de Vous d’estre de la partie. Vous pouvez estre persuadé Monsieur que
Vous me ferez beaucoup de plaisir de me venir voir icy, Vous le pouvez faire avec peu
d’incommodité et quand Vous prenez des Chevaux de Poste Vous pourriez estre icy le
matin en moins de 4 heures et Vous en retourner encore le mesme soir si Vous ne voulez
pas coucher icy. Je voudrois que Monsieur l’Abbé de Locklen eut assez de curiosité pour 20
voir ma maison, je Vous prie Monsieur de luy dire s’il Vous plaist, que je seray ravi de le
voir icy en vostre Compagnie. Vous me permettrez pourtant Monsieur de Vous dire que
je ne veux pas que la compagnie soit plus grande, Vous en scaurez les raisons Monsieur,
quand j’auray l’honneur de Vous voir icy.
Je reserve le reste de tout ce que j’ay à Vous dire jusques à Mercredi que j’espere 25
de Vous embrasser icy avec Monsieur l’Abbé de Locklen auquel je fais mes tres humbles
Zu N. 420: K antwortet auf N. 199 und N. 374 und wird beantwortet durch einen nicht gefundenen
Leibnizbrief (vgl. die Überlieferung und N. 444). Der nächste überlieferte Brief der Korrespondenz
(Steinberg an Leibniz) datiert vom 8. Mai 1705 (Druck in I, 24).
G. W. Molanus.
15 Mercredi: 30. Juli. 20 Abbé:
20. 7. 2012