Leibniz, Akademie-Ausgabe, Bd. I, 23 - Gottfried Wilhelm Leibniz ...

N. 325 johann friedrich pfeffinger an leibniz, 22. Juni 1704 455
Je ne sai non plus comment My L d Marlborough se prendera pour terminer cette
affaire de Baviere. s’il le pourroit faire haut à la main par l’invasion de ses etats, l’action
seroit bien glorieuse.
Quand vous serez à Berlin[,] je vous prie de m’honorer quelquefois de vos ordres et
de me croire toujours tres parfaitement 〈...〉 5
M r de Leibnitz
325. JOHANN FRIEDRICH PFEFFINGER AN LEIBNIZ
Lüneburg, 22. Juni 1704. [249. 337.]
Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 725 Bl. 144–145. 1 Bog. 4 o . 4 S.
22 Juin 1704 Lüneb. 10
Je prens la liberté de Vous envoyer la tete et la queue de mon premier Tome historique,
en Vous remerciant encore une fois treshumb t Mons r de l’epitre, dont Vous m’avez
honoré.
Par la lenteur de l’Imprimerie ayant gaigné assez de tems d’achever l’histoire de la
Maison des Meding, je Vous supplie Mons r de me faire la grace de me dire, si Vous avez 15
assez de loisir de la lire, et alors je l’envoyeray à Votre censure. Je ne commencerai à
coucher au net le 2 Tome de l’histoire du siecle, qu’apres avoir donné le dernier coup
de plume à l’histoire de la Maison d’Estorf, que je crois pouvoir pousser à bout dans
un mois d’icy, à cause que ces deux Maisons pourront former le premier Tome de mon
ouvrage Historico-Genealogique. 20
Il court un bruit icy, que le Prince Louis de Bade est en Arret, que je crois faux,
bienque nos affaires aillent tres pauvrement au Rhin.
Les Portugais commenceront la campagne, quand les François auront gobé la moitié
Zu N. 325: K hatte als Beilage Druckbögen von Pfeffinger, Merckwürdigkeiten des XVII. Jahr-
Hunderts, Th. 1, 1704, und wird beantwortet durch N. 337. 12 l’epitre: I, 22 N. 407. 14 f. l’histoire . . .
Meding: nicht gedruckt; vgl. die Kurzfassung in Pfeffinger, Historie des Braunschweig-Lüneburgischen
Hauses, Th. 1, 1731, S. 652–657. 18 Estorf: vgl. ebd., S. 433–442. 23 gobé la moitié: Am 7. Mai
hatten die französischen und spanischen Truppen die Grenze zu Portugal überschritten, schon Ende Mai
war der Weg nach Lissabon frei; vgl. Ratzenhofer, Feldzug 1704 , 1879, S. 670–674.
20. 7. 2012