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genero- asimetria langabeziaren irudikapen sozialean - Euskara

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LANGABEZIA FEMENINOA ETA MASKULINOA: GENERO-ASIMETRIA …<br />

les groupes français partagent les mêmes représentations sociales et comparées à<br />

celles d’Irun, on dénote au moins une différence dans un élément fondamental. Tout<br />

cela dépasse les prévisions de la cinquième hypothèse de la recherche, les différences<br />

entre les groupes français et espagnol sont plus accentuées que prévues. Par<br />

conséquent, selon la Théorie du Noyau Central, il faut parler de l’existence de deux<br />

représentations sociales, même si dans les trois groupes, dans la représentation du<br />

chômage, les éléments partagés et les similitudes sont évidents. Néanmoins il est<br />

nécessaire de confirmer ces résultats dans de futures recherches.<br />

Bien que ces réflexions autour de l’exclusion sociale nous mènent à l’existence<br />

de deux représentations, suivant l’objectif principal de la recherche, il est évident<br />

pour les trois groupes que l’influence de l’asymétrie de genre apparaît dans la<br />

représentation sociale du chômage. Ainsi, par la suite et pour conclure avec l’analyse<br />

de l’influence de l’asymétrie de genre, nous analyserons les réponses des hommes et<br />

des femmes.<br />

- La représentation sociale du chômage dans les réponses<br />

des hommes et des femmes<br />

Lorqu´on évoque la comparaison entre les réponses des hommes et des<br />

femmes, confirmant la sixième hypothèse, on peut dire qu’ils partagent la même<br />

représentation du chômage. Néanmoins, nous pouvons citer quelques exemples<br />

relatifs aux différences rencontrées. Tout d’abord nous commencerons par les<br />

différences trouvées dans le groupe d’Aix-en-Provence, puis, de même pour le<br />

groupe de Bayonne-Bidart et pour finir le groupe d´ Irun.<br />

Dans le groupe d’Aix-en-Provence, dans les questions d´évocation, les<br />

femmes ont cité plus souvent l’aspect actif du chômage en général et féminin, plus<br />

concrètement la recherche d’emploi. Elles ont également souligné le fait que le<br />

chômage touche plus de femmes. Par contre, les hommes insistent sur les difficultés<br />

économiques et sociales que subit l’homme face au chômage. Dans les questionnaires<br />

de caractérisation, en caractérisant le chômage masculin, les hommes soulignent les<br />

conséquences sociales, et les femmes les conséquences psychologiques et<br />

économiques. Par ailleurs pour caractériser le chômage féminin, les hommes citent<br />

plus fréquemment les causes individuelles. Pour finir, dans les questionnaires de

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