genero- asimetria langabeziaren irudikapen sozialean - Euskara

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LANGABEZIA FEMENINOA ETA MASKULINOA: GENERO-ASIMETRIA …
exemple, comparer la représentation du chômage que les femmes et les hommes ont
suivant le poste qu´ils occupent, “bon” (bien rémunéré par exemple) ou “mauvais”
(mal rémunéré par exemple). Par exemple, Durand-Delvigne (1997) dans son travail
autour de la position hiérarchique et de la représentation de genre, elle conclue que
l’identité de genre et les genres désignés sont plus soumis aux positionnements
sociaux qu’au sexe. Aussi, dans l’étude d´ Echebarria et Fernandez (2002) on peut
apprécier la prédominance du statut social. Dans cette étude, les sujets désignaient
des attributs plus décisifs (instrumentaux) de la personne qui jouissait d’un poste de
haut niveau, soit un homme ou une femme et dans un poste à connotation féminine
ou masculine. Etudier la représentation sociale du chômage que différentes
populations ont et élaborent permettrai d’approfondir les fonctions remplies par les
adéquations des représentations sociales.
Par ailleurs, pour approfondir sur l’influence de l’asymétrie de genre, il est
absolument nécessaire d´examiner les objets qui maintiennent une étroite relation
avec le chômage. Dans la mesure où le chômage se définie autour du manque
d’emploi, étudier la représentation sociale que les jeunes ont de l’emploi, peut
apporter des informations complémentaires. D’une part, autour de la centralité que
l’emploi joue dans la vie sociale et dans l’identité des jeunes et, d’autre part, pour
comprendre le rôle de l’emploi dans les processus de différenciation sexuelle. Quant
à la centralité de l’emploi, dans l’étude de Verquerre, Masclet et Durand (1999), au
moment d’analyser la centralité de l’emploi, pour les étudiants de terminale en
France, on apprécie avec clarté l’importance de l’emploi pour ces jeunes. Cependant,
pour ces jeunes, l’emploi est un recours et non pas un objectif en soi.
En outre, en considérant la répartition de l’emploi selon les genres, en plus de
réaliser une approche à l’emploi rémunéré -poste de travail- et à l’emploi non
rémunéré -spécialement le travail de la maison-, il est nécessaire de prendre en
compte la relation entre ces deux espaces. De fait, dans la division de genre qui se
crée dans l’orientation de l’emploi, les modèles sociaux de féminité et de masculinité
se retrouvent (Poal, 1993; Vouillot et col. 2004). Et ces modèles fonctionnent sous la
forme de prescriptions valorisées et légitimées socialement. Aussi, il faut considérer
que l’interdépendance entre l’activité productive et les activités de reproduction se