genero- asimetria langabeziaren irudikapen sozialean - Euskara

CONCLUSIONS ET DISCUSSION
réfutation on ne trouve pas de différences significatives entre les réponses des
hommes et des femmes. Dans le groupe d’Aix-en-Provence, les hommes mettent
l’accent sur les aspects sociaux du chômage masculin puisqu´ ils considèrent l’emploi
comme élément fondamental à l’intégration sociale de l’homme. Les femmes
insistent sur la centralité de l’emploi dans l’identité de l’homme. Quant au chômage
féminin, les hommes expriment avec clarté que la responsabilité d’être au chômage
incombe à la femme. Au contraire, les femmes, de la même façon qu’elles soulignent
le fait qu’il y ait plus de femmes au chômage, l´importance de trouver un emploi
ressort. À ce propos, on peut dire que les hommes expriment les pensées
discriminatoires envers les femmes plus clairement. Les femmes par contre, en plus
de montrer une certaine préoccupation face au chômage féminin, elles soulignent la
centralité et l’importance qu’occupe l’emploi dans le cas de l’homme au chômage.
Dans le groupe de Bayonne-Bidart, dans les questions d´évocation, par
rapport aux différences entre les réponses des hommes et des femmes, les femmes
citent plus souvent la précarité des femmes au chômage et la catégorie sociale des
jeunes dans le cas du chômage en général. Les hommes soulignent les problèmes
crées par le chômage. Face au chômage masculin, les femmes mettent l’accent sur la
pénurie ou la privation et les difficultés vécues spécialement par les femmes. Dans
les questionnaires de caractérisation, face au chômage masculin, les femmes
expriment les tensions qui peuvent se créer dans un couple et face au chômage
féminin, les problèmes financiers et la nécessité de trouver un emploi. Pour finir,
dans les questionnaires de réfutation, face au chômage féminin, une seule différence
significative a été trouvée. Les femmes considèrent les problèmes financiers comme
centraux, mais pas les hommes. Les hommes doutent de l’importance des problèmes
financiers car ils considèrent le chômage féminin comme un problème de second
ordre, la femme en soi n’a pas vraiment besoin de travailler. Au contraire, femmes de
Bayonne-Bidart, soulignent la gravité du chômage masculin et expriment à la fois les
difficultés qu’ont les femmes au chômage et soulignent les aspects financiers et la
nécessité d’avoir un emploi.
Dans le groupe d’Irun, dans les questions d´évocation, les femmes accentuent
les aspects économiques. Par ailleurs, face au chômage masculin, la nécessité de
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