- Page 2 and 3:
VALERIO MANFREDI L’armée perdue
- Page 4:
4 À ma mère.
- Page 8 and 9:
NÉON d’Asiné, officier du batai
- Page 10 and 11:
1 Le vent. Il souffle sans répit
- Page 12 and 13:
d’une lande sans frontière ni fo
- Page 14 and 15:
contempler les étoiles. Des chiens
- Page 16 and 17:
avant que nos parents remarquent no
- Page 18 and 19:
2 Je me trouvais avec elle quand el
- Page 20 and 21:
» Je ne comprenais pas bien le sen
- Page 22 and 23:
grande armée, qui marchait sur ses
- Page 24 and 25:
J’ignore combien de temps je rest
- Page 26 and 27:
leur bouche. Impossible de le recon
- Page 28 and 29:
cheval et se ménagea une brèche p
- Page 30 and 31:
3 Plusieurs jours s’écoulèrent
- Page 32 and 33:
deux villes avaient vaincu, quatre-
- Page 34 and 35: quittait. Je me disais seulement qu
- Page 36 and 37: qu’il pouvait instruire et dont i
- Page 38 and 39: Xéno garda le silence un moment, c
- Page 40 and 41: d’émotions : ils pleurent, rient
- Page 42 and 43: épandait sur les guerriers qui ava
- Page 44 and 45: vos jours. Si vous êtes battus, il
- Page 46 and 47: Il ne portait sur son corps qu’un
- Page 48 and 49: Il y avait d’autres généraux. L
- Page 50 and 51: versés dans cet art - la relataien
- Page 52 and 53: Fasciné par la pensée de se mesur
- Page 54 and 55: Midas, le roi des Phrygiens, qui av
- Page 56 and 57: qu’elle ne désirait rien d’aut
- Page 58 and 59: iant et en se moquant des soldats d
- Page 60 and 61: On discuta longuement, on tenta de
- Page 62 and 63: L’armée quitta ses quartiers de
- Page 64 and 65: pouvons les venger. » Tandis qu’
- Page 66 and 67: Cléarque écarta les bras et tourn
- Page 68 and 69: — Quel genre de question me poses
- Page 70 and 71: campement, mais en vain. Au bout du
- Page 72 and 73: Des applaudissements retentirent. L
- Page 74 and 75: Le dernier des officiers que le gé
- Page 76 and 77: « Qui es-tu ? » lui demanda-t-il.
- Page 78 and 79: 7 L’armée poursuivit sa marche l
- Page 80 and 81: Cyrus déclara qu’il avait le pou
- Page 82 and 83: j’aimais croire - parce que la pa
- Page 86 and 87: Oui, la mer. « Pourquoi tous les f
- Page 88 and 89: 8 Au cours des premières étapes s
- Page 90 and 91: changeait au fil des pas, des jours
- Page 92 and 93: n’y aurait pas de limites aux mal
- Page 94 and 95: armé et vêtu, entouré de ses tro
- Page 96 and 97: De nouveau Cléarque fit sonner les
- Page 98 and 99: abandonner le combat, on aurait dit
- Page 100 and 101: Pendant ce temps, le chant des sold
- Page 102 and 103: — Le soir approche. Nous autres a
- Page 104 and 105: — Cyrus est mort », déclara le
- Page 106 and 107: — En vérité, j’aimerais vous
- Page 108 and 109: — Silence ! nous lancèrent nos v
- Page 110 and 111: « Prépare-toi, dit-il. Nous devon
- Page 112 and 113: 10 Les soldats parcoururent en sile
- Page 114 and 115: — Non, je suis libre, j’ai suiv
- Page 116 and 117: — Je venais de me réfugier par i
- Page 118 and 119: tenaillait de plus en plus au fil d
- Page 120 and 121: Pour ma part, je plongeai dans le s
- Page 122 and 123: Tout en prononçant ses mots, il re
- Page 124 and 125: tergiverser, de semer le trouble :
- Page 126 and 127: — Nous pouvons bien attendre, ré
- Page 128 and 129: moyen de te faire apprécier. Il su
- Page 130 and 131: — Cela n’a pas d’importance
- Page 132 and 133: panique. Après quoi, une attaque e
- Page 134 and 135:
12 « Comment est-elle ? » Telle f
- Page 136 and 137:
champ de bataille et connaître au
- Page 138 and 139:
eunuques. Le vin coulait en abondan
- Page 140 and 141:
quand la nuit et l’obscurité te
- Page 142 and 143:
Le récit de Durgat s’achevait lo
- Page 144 and 145:
L’expression énigmatique et pour
- Page 146 and 147:
« Et comment ? interrogea Sophos,
- Page 148 and 149:
13 Peu avant l’aube, nos envoyés
- Page 150 and 151:
demandaient, les mains en entonnoir
- Page 152 and 153:
accouraient sous leurs étendards c
- Page 154 and 155:
du genou. Il était impressionnant.
- Page 156 and 157:
vers l’est, car cela nous éloign
- Page 158 and 159:
général en chef, ou nous serons t
- Page 160 and 161:
14 Mélissa sécha ses yeux et essa
- Page 162 and 163:
installé sur un chariot. Il avait
- Page 164 and 165:
Le vent… chaque fois qu’il se l
- Page 166 and 167:
« Cachez-vous tous derrière ce ro
- Page 168 and 169:
couleurs vives et véritablement im
- Page 170 and 171:
serrées. Leur souffrance se concen
- Page 172 and 173:
— Tu veux les attaquer ? Je ne cr
- Page 174 and 175:
manquait : un prestidigitateur, cap
- Page 176 and 177:
dans le royaume des morts où l’a
- Page 178 and 179:
ses cuisses énormes les flancs de
- Page 180 and 181:
la nourriture les avait ragaillardi
- Page 182 and 183:
— Je n’y arriverai jamais ! s
- Page 184 and 185:
16 Quand notre feu commença à fai
- Page 186 and 187:
Nous avions chargé nos bagages sur
- Page 188 and 189:
Les soldats entreprirent de saccage
- Page 190 and 191:
— Je sais, répondit-il d’une v
- Page 192 and 193:
L’armée possédait ses propres m
- Page 194 and 195:
Peut-être n’avaient-ils pas comp
- Page 196 and 197:
observai du coin de l’œil ses mo
- Page 198 and 199:
trouver la paix dans l’au-delà,
- Page 200 and 201:
— Oui, tu as raison, il échappe.
- Page 202 and 203:
un arbre colossal, qui s’abattit
- Page 204 and 205:
chaque régiment certains esclaves
- Page 206 and 207:
18 Alors que nous nous couchions, n
- Page 208 and 209:
fantassins à la lourde armure derr
- Page 210 and 211:
La gorge serrée, je regardais le c
- Page 212 and 213:
devant les généraux, qu’il avai
- Page 214 and 215:
armés d’un arc, alors que les n
- Page 216 and 217:
sans abîmer d’organes vitaux l
- Page 218 and 219:
19 « Lève-toi, lui dis-je. Je vai
- Page 220 and 221:
Je remarquai que les guerriers indi
- Page 222 and 223:
— Exact, répliqua Timasion. D’
- Page 224 and 225:
superposaient à des gémissements,
- Page 226 and 227:
— Essayons sans tarder », approu
- Page 228 and 229:
— Nous avons sauté sur la rive,
- Page 230 and 231:
J’étais si près que je pouvais
- Page 232 and 233:
20 Ce fut une fête mémorable. Il
- Page 234 and 235:
par un fleuve. Il n’y avait pas
- Page 236 and 237:
Cette rivière aussi impétueuse qu
- Page 238 and 239:
« Je m’exprime au nom de Tiribaz
- Page 240 and 241:
la manifestation même de la grande
- Page 242 and 243:
Une vingtaine de soldats sortirent
- Page 244 and 245:
qu’ils règnent une année chacun
- Page 246 and 247:
Xéno ne put s’empêcher de rire,
- Page 248 and 249:
plus avancée. Alors que je l’aid
- Page 250 and 251:
Je m’en gardai bien et je ne me r
- Page 252 and 253:
des allures de fantômes dans le to
- Page 254 and 255:
consommaient ne leur permettait pas
- Page 256 and 257:
Cherchez un endroit abrité du vent
- Page 258 and 259:
— Nous ne bougerons pas, déclara
- Page 260 and 261:
Aussitôt, cinq cents guerriers nou
- Page 262 and 263:
— Ce sont peut-être des idées q
- Page 264 and 265:
— J’ai fait ce qu’il fallait.
- Page 266 and 267:
Un homme longeait la rive en compag
- Page 268 and 269:
« Pélias le chargea d’accomplir
- Page 270 and 271:
Le fleuve… Nous nous en écartion
- Page 272 and 273:
— Il ne faut pas qu’elle bouge
- Page 274 and 275:
Xéno. Le visage qui m’apparaissa
- Page 276 and 277:
« Si tu parvenais à fonder une co
- Page 278 and 279:
des flûtes et des tambours, et ell
- Page 280 and 281:
nos peaux, nos couvertures et nos c
- Page 282 and 283:
— Hors de question ! Je t’aime
- Page 284 and 285:
— Crois-tu vraiment que les dieux
- Page 286 and 287:
vont vers le bas. Le pire serait do
- Page 288 and 289:
vaudrait d’énormes avantages. S
- Page 290 and 291:
Je reconnus à grand-peine un des d
- Page 292 and 293:
« Je n’en peux plus. Je n’arri
- Page 294 and 295:
Elle ralentit à la hauteur de Néo
- Page 296 and 297:
« Tu devrais le savoir », dit-il
- Page 298 and 299:
— Ces signes prouvent qu’il con
- Page 300 and 301:
était plus coupante que le vent qu
- Page 302 and 303:
Un long silence s’ensuivit. Souda
- Page 304 and 305:
L’armée qui se tenait sur la cr
- Page 306 and 307:
J’avançai et déclarai à la stu
- Page 308 and 309:
Nous nous remîmes en marche et nou
- Page 310 and 311:
as. Nous devons seulement nous arme
- Page 312 and 313:
sa férocité. Ce qu’il restait d
- Page 314 and 315:
hirsute et retrouvaient une certain
- Page 316 and 317:
— Après deux jours de marche, no
- Page 318 and 319:
produisant des tourbillons de fumé
- Page 320 and 321:
28 L’enthousiasme et la joie semb
- Page 322 and 323:
cascades et en rapides, pour descen
- Page 324 and 325:
nôtres, à qui l’on avait confi
- Page 326 and 327:
chaque silence correspondaient un c
- Page 328 and 329:
Nous atteignîmes une ville habité
- Page 330 and 331:
Il refusa. Il se rendait compte que
- Page 332 and 333:
amenées tout en sachant qu’il si
- Page 334 and 335:
indigènes réagirent violemment. L
- Page 336 and 337:
colline et s’éloigner vers la c
- Page 338 and 339:
encontrai et lui dis : « Je suis l
- Page 340 and 341:
et au cours de laquelle Arcadiens e
- Page 342 and 343:
entraîné cette catastrophe. Combi
- Page 344 and 345:
abriter une ville qu’il serait ai
- Page 346 and 347:
30 Je pensais que l’aventure des
- Page 348 and 349:
Soudain, le sol se déroba sous mes
- Page 350 and 351:
Un cri d’enthousiasme salua ses p
- Page 352 and 353:
— Oui, nous pouvons imposer des t
- Page 354 and 355:
Un soir où il dînait en compagnie
- Page 356 and 357:
— Depuis notre arrivée à la vil
- Page 358 and 359:
appelant tout ce qu’il avait fait
- Page 360 and 361:
aventure a commencé sous les ordre
- Page 362 and 363:
Je dis adieu à Mélissa qui m’é
- Page 364 and 365:
Épilogue Abira acheva son récit p
- Page 366 and 367:
châtiment de sa désobéissance,
- Page 368 and 369:
envahissent les vierges adolescente
- Page 370 and 371:
Note de l’auteur Cette histoire e
- Page 372:
été empoisonné par ses compatrio