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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

05.(399) Fang-tch’eng est le nom d’une montagne au sud de la sous-préfecture<br />

de Ye, préfecture de Nan-yang, province de Ho-nan (cf. Mém. hist., chap. XLV,<br />

p. 3 r°, comm. Souo-yn).<br />

05.(400) T’ang Mei était un général de Tch’ou. Ailleurs (Mém. hist., chap. XL,<br />

p. 11 v°), Se-ma Ts’ien dit que ce général fut, non pas fait prisonnier, mais<br />

tué. Dans le Tableau chronologique (Mém. hist., chap. XXVII, r°) il est dit que<br />

T’ang Mei fut battu à Tchong-k’ieou (au nord-est de la préfecture de Tong-<br />

tch’ang, province de Chan-tong).<br />

05.(401) On ne sait ni le nom personnel, ni le nom posthume de ce prince. Le<br />

T’ong kien kang mou rapporte sa défaite en l’an 301 av. J.-C. Tchong-chan<br />

s’appelait aussi autrefois Sien-yu (H. T. K. K., chap. CCLIV, 12 e année du duc<br />

Tchao et 4 e année du duc Ting). C’était une petite principauté qui appartenait<br />

au clan Ki. Elle occupait, dans la province de Tche-li, l’emplacement de la sous-<br />

préfecture de K’iu-yang, préfecture <strong>second</strong>aire de Ting, et des sous-<br />

préfectures de Ling-cheou et de Kao-tch’eng, préfecture de Tcheng-ting.<br />

05.(402) On a vu plus haut (p. 67) que Wei Yang avait, lui aussi, été nommé<br />

seigneur ; ce titre de seigneur avait évidemment perdu de son importance<br />

depuis que les chefs des États féodaux avaient pris pour eux-mêmes le titre<br />

des rois.<br />

05.(403) Cf. <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>, chap. LXXV. Le nom de famille du prince de<br />

Mong-tch’ang était T’ien ; il est appelé ici Sie du nom de la ville de Sie que son<br />

père, T’ien Yng, avait reçue en apanage du roi de Ts’i.<br />

05.(404) Sur le guet-apens dans lequel fut attiré le roi de Tch’ou, cf. <strong>Mémoires</strong><br />

<strong>historiques</strong>, chap. XL, p. 12 r°.<br />

05.(405) D’après Tchang Cheou-tsie, Kin Cheou était conseiller de Ts’in.<br />

05.(406) Se-ma Ts’ien mentionne en réalité six États ; mais comme le fait<br />

remarquer Tchang Cheou-tsie, l’État de Tchong-chan était dès ce moment sous<br />

la dépendance absolue de l’État de Tchao qui ne devait d’ailleurs pas tarder à<br />

l’absorber.<br />

05.(407) La ville de Yen était située près de la sous-préfecture de Ngan-i,<br />

préfecture <strong>second</strong>aire de Kie, province de Chān-si ; cette ville était la<br />

résidence d’un intendant des marais salés et c’est pourquoi on l’appelait<br />

parfois Se-yen tch’eng, ou comme ici, Yen-che tch’eng.<br />

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