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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

vrai fondateur de l’empire chinois qui, avant lui, n’était qu’une féodalité sans<br />

cohésion.<br />

06.(549) Le mot est une restriction dubitative.<br />

06.(550) Cf. <strong>tome</strong> I, note 00.165.<br />

06.(551) Ces deux constellations président à la guerre et aux massacres.<br />

06.(552) Tchao Kao.<br />

06.(553) Tchao Kao et son gendre Yen Yue. Pan Kou fait l’éloge de Tse-yng qui<br />

eut le courage de tuer lui-même ces hommes néfastes.<br />

06.(554) Le futur Han Kao-tsou.<br />

06.(555) Cf. note 480.<br />

06.(556) On lit dans le commentaire de Kong-yang au Tch’oen-ts’ieou que,<br />

lorsque le roi Tchoang de Tch’ou attaquait l’État de Tcheng, le comte de<br />

Tcheng vint à sa rencontre, en tenant en main les instruments dont on se<br />

servait lors des sacrifices dans le temple ancestral : à savoir, l’étendard<br />

d’herbes blanches et le couteau à sonnettes ; il donnait ainsi à entendre qu’il<br />

se rendait à discrétion, lui et son temple ancestral. Le roi Tchoang lui laissa la<br />

vie sauve et fit aussitôt reculer son armée de sept li en arrrière. — Le nom du<br />

roi Tchoang est ici écrit Yen, afin d’éviter le nom personnel de l’empereur Hiao-<br />

ming, qui était Tchoang (Che ki p’ing lin) ; aussi Tchang Cheou-tsie dit-il qu’il<br />

faut lire Tchoang, et non Yen.<br />

06.(557) Cette expression ne convient guère à Tse-yng, qui était un homme<br />

fait (cf. note 478).<br />

06.(558) On lit en effet dans le Tch’oen ts’ieou (3 e année du duc Tchoan) :<br />

« En automne, le troisième frère (du marquis) de Ki se livra avec (la<br />

ville de) Hoei, à Ts’i. »<br />

Le nom de ce personnage n’est pas indiqué et Pan Kou voit dans cette<br />

omission une intention cachée : la reddition de la ville de Hoei fut le<br />

commencement du démembrement de l’État de Ki ; mais la ruine de cette<br />

principauté était inévitable ; aussi l’auteur du Tch’oen ts’ieou passe-t-il sous<br />

silence le nom du prince qui livra la ville de Hoei, afin de montrer au lecteur<br />

qu’il ne doit pas imputer à ce prince la perte de l’État de Ki. Pan Kou oppose<br />

donc ce sage artifice du Tch’oen ts’ieou au jugement injuste de Kia I qui<br />

incrimine l’infortuné Tse-yng.<br />

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