13.07.2013 Views

Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

Che-tch’en. De même, dans le Traité sur les sacrifices fong et chan (p. 14 de<br />

ma première traduction), le duc Hoan, de Ts’i, se vante d’avoir triomphé, à<br />

l’ouest, du Ta-hia. De même encore, Se-ma Ts’ien dit à diverses reprises que<br />

Yu perça la montagne Long-men pour pénétrer dans le Ta-hia. — Kou Yen-ou,<br />

dans ses additions et corrections au commentaire du Tou Yu sur le Tso tchoan<br />

(H. T. K. K., chap. III, p. 1 v°) a bien établi que le pays de Ta-hia dont il était<br />

question dans ces textes était le territoire compris entre le Hoang-ho et la<br />

rivière Fen, dans le Chan-si ; ce sont aujourd’hui les préfectures <strong>second</strong>aires<br />

de Sie, de Ki et de Kiang.<br />

06.(279) Les rimes sont au chang-cheng de la cinquième catégorie.<br />

06.(280) Le titre de luen-heou n’est pas mentionné dans le po-koan piao du<br />

livre des Han antérieurs. D’après Se-ma Tcheng, les luen-heou étaient<br />

inférieurs aux lie-heou parce qu’ils n’avaient pas de fiefs ; les luen-heou<br />

paraissent donc identiques à ceux qu’on nomma, sous les Han, les tch’e-heou<br />

et, plus tard les koan-nei-heou (afin d’éviter le nom personnel de l’empereur<br />

Ou). Les koan-nei-heou se distinguaient des lie-heou en ce qu’ils ne<br />

possédaient pas de terres dont ils fussent les seigneurs plus ou moins<br />

indépendants ; ils se bornaient à jouir des revenus que leur rapportaient<br />

certaines villes. (errata d’Éd. Chav. : l’identification des tch’e-heou aux koan-<br />

nei-heou est inexacte, cf. p. 529, n°20).<br />

06.(281) La plupart des éditions de Se-ma Ts’ien appellent ce personnage Wei<br />

Lin ; cependant Yen Tche-t’oei (cf. Mayers, Manual, n° 910) a fait remarquer<br />

que d’après l’inscription sur les poids et mesures (cf. Appendice III), les deux<br />

grands conseillers de Ts’in Che-hoang-ti étaient (Wei) Tchoang et (Wang)<br />

Koan.<br />

06.(282) Les six premières strophes de l’inscription étaient mises dans la<br />

bouche de Ts’in Che-hoang-ti ; les trois dernières sont mises dans la bouche<br />

de ses sujets.<br />

06.(283) Les rimes sont au chang-cheng de la première catégorie.<br />

06.(284) L’expression [] désigne les trois dynasties Hia, Yn, Tcheou.<br />

06.(285) Les rimes sont dans la dixième catégorie.<br />

06.(286) C’est-à-dire : il a prouvé par ses actes qu’il méritait cc titre de<br />

souverain empereur qu’il s’était donné.<br />

06.(287) Les rimes sont dans la onzième catégorie.<br />

385

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!