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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

05.(508) Sin-tch’eng était à 47 li au sud-ouest de la sous-préfecture de Chan-<br />

yang, sur le territoire de la préfecture <strong>second</strong>aire de Cho, préfecture de Cho-<br />

p’ing, province de Chān-si. — Lang-mong était sur le territoire de la sous-<br />

préfecture de Ting-siang, préfecture <strong>second</strong>aire de Hin, province de Chān-si. —<br />

Yu-ts’e devait se trouver dans le voisinage de ces deux villes.<br />

05.(509) Le Ho-wai, ou le territoire en dehors du Fleuve, correspond aux<br />

préfectures <strong>second</strong>aires de Chàn, dans la province de Ho-nan, et de Hoa, dans<br />

la province de Chàn-si.<br />

05.(510) Cf. le chapitre suivant.<br />

05.(511) Tchong-li est un nom de famille dans lequel sont réunis les noms les<br />

deux antiques fonctionnaires de la terre et du ciel, Tchong et Li. Les Se-ma,<br />

qui étaient domiciliés dans le pays de Ts’in, prétendaient descendre également<br />

de Tchong et de Li (cf. Introduction, p. XII).<br />

CHAPITRE VI : T’sin Che-hoang<br />

06.(101) Cf. <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>, chap. LXXXV.<br />

06.(102) Les lettrés chinois qui prétendent que la dynastie Ts’in fut illégitime,<br />

soutiennent que Ts’in Che-hoang-ti fut un bâtard ; ils affirment que son<br />

véritable père fut, non le roi Tchoang-siang, mais Lu Pou-wei, et c’est pourquoi<br />

ils affectent de l’appeler Lu Tcheng. — Le nom personnel de Tcheng fait<br />

allusion, d’après Tchang Cheou tsie, au fait que Ts’in Che-hoang-ti naquit le<br />

premier mois, tcheng yue.<br />

06.(103) Cf. note 05.313.<br />

06.(104) Cf. note 05.363.<br />

06.(105) Cf. note 05.313.<br />

06.(106) Sur le royaume de Yue, fondé par Keou-tsien dans le Tche-kiang et le<br />

Fou-kien, cf. <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>, chap. XLI. En 334 av. J.-C., l’État de<br />

Tch’ou avait vaincu Ou-kiang, descendant à la septième génération de Keou-<br />

tsien, et le territoire de Yue s’était morcelé en plusieurs petites principautés.<br />

Avec l’affaiblissement graduel de Tch’ou, la suprématie sur les principautés de<br />

Yue avait passé entre les mains des Ts’in.<br />

06.(107) Cf. note 05.419.<br />

06.(108) Cf. <strong>tome</strong> I, note 04.512 et <strong>tome</strong> II, p. 87, lignes 1 et 2.<br />

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