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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

07.(219) D’après le Yu pien, cité par le Dictionnaire de K’ang-hi au mot tche, le<br />

tche ordinaire avait une contenance de quatre cheng ; or il faut dix cheng pour<br />

faire un teou ; une coupe tche d’une capacité d’un teou était donc plus du<br />

double d’une coupe ordinaire.<br />

07.(220) Le mot [], dit Yen Che-kou a ici le sens de [] = laisser.<br />

07.(221) Cf. <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>, chapitre XCV.<br />

07.(222) Le Ts’ien Han chou (chap. I, 1 e partie, p. 11 r°) écrit Ki Tch’eng : Ki<br />

Tch’eng fut le père de Ki T’ong.<br />

07.(223) Tche-yang qui fut plus tard la préfecture de Pa-ling , était à l’est de<br />

la sous-préfecture actuelle de Hien-ning, préfecture de Si-ngan, province de<br />

Chàn-si.<br />

07.(224) Littéralement : n’a pas triomphé des tasses et des coupes.<br />

07.(225) Il parle de Hiang Yu qui, par son indécision, a fait manquer le<br />

complot.<br />

07.(226) Le traître qui avait dénoncé ses projets à Hiang Yu ; cf. note 208.<br />

07.(227) Ces barrières, dit Siu Koang, étaient, à l’est, la passe Hien-kou (cf.<br />

note 06.504) ; au sud, la passe [] (cf. p. 156, n. 2) ; à l’ouest, la passe San<br />

(dans la préfecture de Fong, au nord de la préfecture de Han-tchong, province<br />

de Chàn-si) ; au nord, la passe Siao (au sud-est de la ville préfecturale de<br />

P’ing-leang, province de Kan-sou).<br />

07.(228) Un singe qui s’affuble d’un bonnet viril n’est pas capable de le garder<br />

longtemps et son naturel ne tarde pas à reparaître ; il en est de même des<br />

gens de Tch’ou.<br />

07.(229) Le Ts’ien Han chou, chap. XXXI, p. 10 r°, appelle ce personnage<br />

« maître Han » ; le tch’oen ts’ieou de Tch’ou et de Han l’appelait « maître<br />

Ts’ai ».<br />

07.(230) Kiang Yu espérait que le roi de Tch’ou lui donnerait le titre de roi ;<br />

mais le roi de Tch’ou lui répondit qu’il fallait s’en tenir aux termes de la<br />

convention d’après laquelle celui qui entrerait le premier à l’intérieur des<br />

passes serait nommé roi ; or c’était Lieou Pang, gouverneur de P’ei, et non<br />

Hiang Yu, qui avait pénétré le premier dans le territoire de Ts’in.<br />

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