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Mémoires historiques, tome second - Chine ancienne

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Se-ma Ts’ien — <strong>Mémoires</strong> Historiques<br />

Tome II<br />

06.(500) Au lieu de [], le texte de Kia I donne la leçon [] « la suite des rois ».<br />

Cette leçon est préférable. Cependant, celle que nous trouvons dans les<br />

<strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong> offre aussi un sens admissible.<br />

06.(501) Ce paragraphe, qui est en réalité la conclusion des Considérations<br />

montrant les fautes de Ts’in prouve que Kia I était, comme tout bon lettré, un<br />

réactionnaire à tous crins : il ne pardonne pas à Ts’in Che-hoang-ti d’avoir<br />

détruit l’<strong>ancienne</strong> organisation politique.<br />

06.(502) Ici commence la première partie des Considérations ; elle est<br />

reproduite et commentée dans le Wen siuen (chap. LI, p. 1 et suiv.), ainsi que<br />

dans la plupart des anthologies intitulées Kou wen ; elle a été traduite en latin<br />

par le P. Zottoli (Cursus litteraturae sinicae, vol. IV, pp. 255-261).<br />

06.(503) Cf. note 05.222.<br />

06.(504) Ici le mot han doit être prononcé Hien. La passe Hien ou Hien-kou,<br />

était aussi une des barrières de Ts’in ; elle est au sud de la sous-préfecture de<br />

Ling-pao, préfecture <strong>second</strong>aire de Chàn, province de Ho-nan.<br />

06.(505) C’est-à-dire, en gros, le Chàn-si et le Kan-sou.<br />

06.(506) Le prince de Chang n’est autre que Yuen Ang. Cf. Mém. hist, chap.<br />

LXVIII.<br />

06.(507) En élevant les mains comme pour saluer, c’est-à-dire sans avoir à<br />

combattre.<br />

06.(508) Cf. note 05.313.<br />

06.(509) Cf. note 05.313 et note 05.363.<br />

06.(510) En réalité, Kia I vient de mentionner neuf royaumes : mais, comme<br />

les États de Song, Wei, et Tchong-chan étaient d’importance <strong>second</strong>aire, on<br />

peut les passer sous silence ; plus loin cependant, on trouvera l’expression<br />

« les neuf royaumes. » — Les six royaumes principaux et le royaume de Ts’in<br />

sont aussi désignés parfois sous le nom de « les sept puissants » ; ce sont<br />

donc : Ts’in, Han, Wei, Tchao, Yen, Tch’ou et Ts’i.<br />

06.(511) Ning Yue était du pays de Tchao. — Siu Chang est inconnu. — Sou<br />

Ts’in était de Lo-yang, et sujet des Tcheou orientaux : ce fut un des plus<br />

célèbres discoureurs de l’époque des royaumes combattants (cf. <strong>tome</strong> I, note<br />

04.509 et <strong>Mémoires</strong> <strong>historiques</strong>, chap. LXIX). — Tou Ho est mentionné dans le<br />

tch’oen ts’ieou de Lu Pou-wei comme ayant donné des conseils au prince<br />

Tchao-wen, de Tcheou.<br />

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