E. Perret : récits algériens 1830-1848 - Accueil

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— 430 — la France et Abd-el-Kader, et d'aider ce dernier à maintenir son ascendant sur les tribus qui étaient sur le point de lui échapper. Le gouvernement eût été parfaitement déraisonnable, s'il avait cru devoir imposer une conviction différente à M. le maréchal Bugeaud. Au surplus, le gouvernement a employé tous les moyens en son pouvoir, directs ou indirects. Ainsi, plusieurs tentatives pour surprendre la déïra et délivrer nos prisonniers ont été faites ou commencées ; et en même temps, des négociations ont été ouvertes avec l'empereur du Maroc pour arriver à ce résultat. L'empereur a répondu à notre appel. Il a fait avancer des troupes, et il a même changé le gouverneur de la province voisine de notre frontière ; mais alors la crainte a gagné la déïra, elle a senti que le péril approchait, et elle a pris le parti de se dissoudre, d'après les ordres formels d'Abd-el-Kader lui-même. C'est au moment où cette résolution critique était prise, qu'a eu lieu la désolante catastrophe dont s'occupe la Chambre. La déïra ne s'est pas sentie en état de garderies prisonniers et de les nourrir ; et plutôt que de les rendre à la liberté, elle a exercé sur eux une vengeance atroce. » Comme on le voit, le gouvernement royal n'eut, en r^tte affaire, qu'un seul tort, celui de trop s'en rapporter au -naréchal Bugeaud, dont les convictions absolues firent rejeter opiniâtrement les cartels d'échange proposés par \bd el-Kader.Ces convictions étaient sincères sans doute; mais il n'en est pas moins acquis à l'histoire que nos braves et malheureux soldats ont payé cher l'erreur et l'obstination du maréchal. Le massacre de la déïra est un des épisodes les plus sombres du grand problème de civilisalion que la France ^'efforce de résoudre dans le nord de l'Afrique. MM. Courby de Cognard, qui venait d'être promu lieutenant-colonel, MM. les lieutenants Larrazet et Marin, M. Thomas, promu sous-lieutenant, le maréchal des logis Barbât, Testard, hussard, Trott, chasseur à pied, Michel, fusilier au
— 431 — 41°, enfin ïa femme Thérèse Gilles avaient été heureusement épargnés. Cette dernière avait été prise aux portes d'Oran, huit ans auparavant. Le lieutenant gnac, par suite Hillerin, d'une du 41", celui que le général Cavai- inspiration malheureuse, avait mis sous les ordres de son collègue Marin, était mort dans un village des Kabyles du Riff. Tous ces braves gens furent délivrés de la façon la plus inespérée. Donnons ici la parole au lieutenant de Castellane, aide de camp de Lamoricière. «... Mon lieutenant, un Maltais veut vous parler. » — Que le diable t'emporte! Qui va là? » Et, me frottant les yeux, avec le mouvement de colère qu'éprouve toujours un homme dont le premier sommeil est brusquement interrompu, je parvins enfin à rattraper mon bon sens. » — Lieutenant, reprit le planton de la légion étrangère dès qu'il me vit en état de le comprendre, un Maltais dit avoir à parler au général. » — C'est moi, Durande (1) ; j'arrive de Djemma-Ghazaouat, me cria à travers la porte entrebâillée le prétendu Maltais. » Aussitôt je saute à bas de mon lit, et, tout en passant mon uniforme : — Entrez donc, dis-je à M. Durande, entrez bien vite. Quelles nouvelles apportez-vous? » — Bonnes, monsieur. Grâce au ciel, les prisonniers sont sauvés ; je les ai laissés à Djemma. » — Courons chez le général ; sa joie sera » Et, m'élançant vers la porte, je descendis grande. l'escalier tortueux quatre à quatre, au risque de me rompre le cou, suivi de M. Durande, affublé d'un grand caban napolitain, couvert de vêtements de pêcheur, et ressemblant si bien à un flibustier des côtes, que l'erreur du soldat était vraiment excusable. M..Durande attendit dans la grande salle mau- (1) M. Durandeétait enseignede vaisseau.
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LES FRANÇAIS EN AFRIQUE RÉCITS AL
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— II . — .. prestigieux de Gode
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— IV Mais, diront quelques optimi
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— VI — de maître en interdisan
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VIII miné dans ce dernier pays sa
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RÉCITS ALGÉRIENS CHAPITRE PREMIER
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« — Ce n'est pas à moi, c'est a
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auquel la monarchie des Bourbons av
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La presse dénaturait aussi de la f
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— 11 — général comte de Clerm
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— 13 — Constantine et de façon
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— 15 — blanchisseuses. Il est d
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— 17 — Les compagnies étaient
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— 19 — méable, afin qu'au moin
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— 23 — barder Alger en 1816. Il
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— 25 — aux trousses de l'armée
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— 27 — de saint Vincent de Paul
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— 29 — qui dominent Alger au su
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— 35. — sur les côtes d'Afriqu
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— 45 — Coule, mais je n'amène
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de la Magicienne ; il sauta et son
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AMIRAL DUPERRÉ i
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mêmes sur l'étymologie du mot Ser
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— 78 — les Turcs vinrent s'y é
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— 86 — vante, les mêmes tribus
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— 90 — maître est respectée,
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— 94 — Matérie^ement nous avon
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— 96 — dû se faire complices d
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— 97 — Trois mois de solde au r
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— 99 — Le 23, la petite colonne
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— 101 — « — Ce que renferme
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— 104 — Dès son arrivée, le g
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— lffi — mière expédition de
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— 110 — Nos plus illustres gén
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- 112 — capitaine avait demandé
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— 114 — Ces expatriés paraissa
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— 116 — à point, et songeait d
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— 118 — tambours et clairons de
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— 120 — cinq ans d'efforts, sem
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— 122 — plusieurs fois, sous le
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— 124 - remis aux représentants
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— 126 — trois régiments tirés
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— 130 — el-Kader. Il fut ébran
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— 132 — augmente le nombre de s
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— 130 — lui ayant dit, avec viv
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— 138 — Goër du Hervé. Comme
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— 142 — ses lieutenants souleva
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— 145 — chacun six coups à tir
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— 147 — rer le respect des homm
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— 149 — que, le colonel de Tour
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— 151 — blesses et de malades ;
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— 153 — Au contraire, Baude eut
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— lao connaissant admirablement s
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— 457 — Changarnier venait d'ê
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— 159 — prévenance mit fin à
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— 161 — le général que l'on v
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— 163 — Max reçut maintes ball
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CHAPITRE III SOMMAIRE: Iffel produi
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— 169 — 31,000 hommes et de 4,0
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— 171 — fortifiée par les pré
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— 173 — par le général Rulhi
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— 175 — Mais le moral des assi
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— -Ï77 — transport des gargous
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— 179 — une compagnie de voltig
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— 181 — les assiégés revienne
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— 183 — perpétue dans l'armée
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— 185 - Ce luttes. homet dernier
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— 187 — guère à ces traités
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— 189 — arabe et la maintenir e
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— 191 — probation nitive. du ro
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GÉNÉRAL DE LAMORICIÈRE
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— 194 — tout ce qu'il désire.
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— 196 — espagnoles, montées su
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— 198 — tenant à Abd-el-Kader.
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— 202 — réguliers de son khali
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— 212 — gion que l'on a justeme
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— 214 — el-Kader, cette incréd
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— 216 — riers de toutes les tri
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— 218 — d'une brochette de pois
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— 220 — leur commandant : « Qu
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— 222 — mal aux bains d'Hammam-
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— 226 — « Mon lieutenant, il f
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— 228 — et vous les verrez marc
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— 230 — Dès le 2 février au s
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et du premier Empire, sans paille,
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— 236 — se relira; ses hommes a
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— 238 — et légère incision. A
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— 24) — deviit capitaine de gre
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— 241 — solitaires de la France
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— 213 — parce que je suis bien
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— 247 — bre de mes adversaires.
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— 249 — taillons et leurs compa
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—- 273 — vait tout aussi bien c
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— 275 — 55 prisonniers et un ca
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— 279 — que, et ses hommes, pie
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— 281 —.. Nos cavaliers chargen
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-- 283 - la Mitidja. Le chef des so
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MARÉCHAL BUGEAUD 11
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— 339 — donner cours à ses ran
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— 341 — des juifs, et l'on s'em
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— 313 — \eJemmapes,le Suffren,
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— 345 — d'entrer à Tanger, mai
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— 347 — gré la fusillade des M
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349 — Et Abd-el-Kader entra encor
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— 351 — blés et les orges néc
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— 353 — cavalerie se composait
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— 359 — serons pas ce traité,
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— 361 — de ses mains, tion. ne
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— 363 — rise à l'infini la mul
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— 365 — Touraine ou en Anjou. L
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— 367 — liers et un millier de
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— 369 — L'étonnement, de l'ém
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— 371 — ou trois prisonniers fr
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— 373 — Ils furent envoyés en
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— 375 — C'est devant un pareil
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TABLE DES MATIÈRES lNT!'01>r:CT)0N
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— 483 — — Bataillede l'Isly.
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