Rapport da la cour des comptes 2010 (Tome 1) - Transparency

1.2.2.0.0.08.000 Ministère de l’intérieur 816,07 1 703,97 44,65%
1.2.2.0.0.43.000 Chambre des conseillers 16,90 7,20 42,62%
1.2.2.0.0.31.000
Ministère de l’emploi et de la formation
professionnelle
571,03 223,86 39,20%
1.2.2.0.0.42.000 haut commissariat au plan 130,22 45,55 34,97%
1.2.2.0.0.05.000 Juridictions financières 50,58 16,79 33,19%
1.2.2.0.0.06.000 Ministère de la justice 1 206,41 320,93 26,60%
1.2.2.0.0.23.000
1.2.2.0.0.07.000
Ministère des habous et des affaires
islamiques
Ministère des affaires étrangères et de la
coopération
Source : loi de finances et compte général du royaume au titre de 2008
- Les dépenses relatives à la dette publique
681,73 173,14 25,40%
204,31 36,68 17,95%
Les dépenses de la dette publique ont varié au cours de la période 2003 à 2008, d’une part par rapport
au PIB et d’autre part par rapport aux dépenses du budget général de l’état. Le tableau suivant retrace
l’évolution par rapport au PIB:
année
Tableau n° 10: Evolution de la dette publique de 2003 à 2008(En MDH)
Produit
intérieur
brut
Dette extérieure Dette intérieure Total de la dette
Dette
Part de la
Dette
montant extérieure/ montant
intérieure/ PIB montant dette dans
PIB
le PIB
2003 477 021 126 024 26,4% 211 590 44,4% 337 614 70,78%
2004 505 015 115 310 22,8% 224 077 44,4% 339 387 67,20%
2005 527 679 115 871 22,0% 258 471 49,0% 374 342 70,94%
2006 577 344 115 927 20,1% 266 066 46,1% 381 993 66,16%
2007 615 373 122 043 19,8% 263 832 42,9% 385 875 62,71%
2008 688 843 133 557 19,4% 257 547 37,4% 391 104 56,78%
Source : loi de finances et compte général du royaume au titre de 2008
il en découle un recul du volume de la dette publique par rapport au PiB. en effet, quoique le volume
de l’endettement a enregistré un taux d’accroissement moyen de 3,17% au titre de la période 2003-
2008, il n’en demeure pas moins qu’il reste inférieur à celui enregistré par le PIB (8,88%). Ainsi, le
poids de l’endettement est passé de 70,78% du PIB en 2003 à environ 56,78% en 2008.
Notant que la part de la dette intérieure ne cesse de grandir au détriment de la dette extérieure. Cette
dernière, qui représentait 37,33% de la dette publique en 2003, n’en compte plus que 34,15% en
2008.
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