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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>The U.S. Equity FundRapport du GestionnaireGestionnaires de portefeuilleColumbus Circle InvestorsCornerstone Capital Management Co. Inc.First Eagle FundsInstitutional CapitalLevin Capital Strategies, L.P.MFS Institutional Advisors Inc.Montag and Caldwell Inc.Pzena <strong>Investment</strong> Management<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong>s LimitedSound Shore ManagementSuffolk Capital Management LLCObjectif d’investissementL’objectif du Compartiment The U.S. Equity Fund consistera à apprécier le capital en investissant sur des titres de participationaméricains, notamment des actions ordinaires, des titres convertibles, des certificats de dépôt américains, des certificats de dépôtsgénéraux et des bons de souscription sur un marché réglementé des États-Unis.Performance du CompartimentAu cours du semestre clôturé le 30 septembre 2011, le Compartiment a enregistré un rendement de -17,1 pour cent sur une basebrute de commissions (-17,5 pour cent sur une base nette de commissions), contre -14,8 pour cent pour l’indice de référence*.Analyse du marchéLes actions américaines ont bien résisté au cours du deuxième trimestre 2011 pourtant marqué par des conditions macroéconomiquestumultueuses. L’indice <strong>Russell</strong> 1000 Value Net 30 pour cent Index a enregistré une performance neutre durant lapériode et s’est apprécié de 6,1 pour cent depuis le début de l’année. Au début d’avril la reprise du marché, stimulée par lescommunications d’entreprises sur les profits particulièrement positifs du premier trimestre, a été de courte durée, car l’appétit durisque des investisseurs s’est évaporé suite aux ventes massives de matières premières en mai. Cela a été réaffirmé par la crise dela dette en cours dans la zone euro et les données économiques américaines décevantes. Les annonces indiquant que le taux dechômage avait augmenté, revenant à plus de 9 pour cent, que les prix immobiliers étaient passés sous leur nadir de 2009 et quel’activité avait reculé dans la plupart des secteurs ont ravivé les craintes des investisseurs concernant la solidité de la reprise del’économie américaine. En outre, la fin officielle de la deuxième ronde d’assouplissement quantitatif le 30 juin et l’incapacité dugouvernement à parvenir à un accord sur le budget et le plafond de la dette, ont pesé sur la confiance. Cependant, la plupart de cespertes ont été compensées au cours des derniers jours du trimestre lorsque la Grèce a finalement adopté les mesures d’austériténécessaires pour assurer l’aide financière internationale et l’activité aux États-Unis semblait rebondir. En raison de cetenvironnement d’aversion au risque au niveau mondial, la croissance a été favorisée par rapport à la valeur, les grandescapitalisations ont surperformé les petits et les secteurs défensifs ont été privilégiés aux valeurs cycliques.Une série de communiqués de données économiques et de résultats d’enquêtes sombres a fomenté de nouveau les craintes d’unerécession à double creux aux États-Unis et a lourdement pesé sur le prix des actions. Dans ce contexte, l’indice <strong>Russell</strong> 1000Value Net 30 pour cent Index a chuté de 14,8 pour cent durant le troisième trimestre 2011, signant sa quatrième plus mauvaiseperformance trimestrielle depuis sa création, il y a plus de 33 ans. La confiance a été également minée par les querelles politiquessur le relèvement du plafond de la dette américaine, et, une fois la mesure adoptée, l’agence Standard & Poor a baissé la notationdes États-Unis de AAA à AA +. L’incapacité apparente de l’économie américaine à créer des emplois est restée le principal sujetd’attention, ce qui a incité le président Obama à définir un ensemble de mesures de réduction des impôts et décider de nouvellesdépenses destinées à réduire le chômage. Ainsi que d’autres marchés développés, le secteur bancaire américain a été mis souspression, le souci qu’une récession à double creux se traduise par une seconde vague de défauts de paiement hypothécaire ayantfait son chemin parmi les observateurs. Bank of America a chuté fortement en raison notamment d’un procès portant sur 10milliards de dollars intenté par AIG qui prétend une fraude massive sur les hypothèques. Mais les actions de Bank of Amerika ontenregistré une forte progression lorsque Warren Buffett a montré son soutien au prêteur en difficulté en investissant 5 milliardsUSD dans ce dernier. Les acquisitions ont fait preuve de dynamisme au cours de la période. Google a annoncé le plus importantcontrat OPA de sa courte histoire en achetant le fabriquant de téléphones mobiles Motorola pour 12,5 milliards de dollars. Aucours du trimestre, les secteurs plus défensifs des services publics, de la consommation de base et des soins de santé ont été lesplus performants, et les secteurs plus cycliques des matériaux, de la transformation et des biens d’équipement ont connu unrendement bien moins élevé.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceLe Compartiment a sous-performé l’indice de référence pendant le semestre, présentant un rendement négatif de -2,3 pour cent.254 The U.S. Equity Fund

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