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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>Pan African FundRapport du GestionnaireGestionnaire de portefeuilleOld Mutual Long Term Equity <strong>Investment</strong>sObjectif d’investissementL’objectif d’investissement du compartiment Pan African Fund est de réaliser une croissance de long terme du capital eninvestissant dans des sociétés bénéficiant directement d’opportunités de croissance économique de long terme sur le continentafricain.Performance du CompartimentAu cours du semestre clôturé le 30 septembre 2011, le Compartiment a enregistré un rendement de -24,3 pour cent sur une basebrute de commissions, contre 2,1 pour cent pour l’indice de référence.* Sur 12 mois, le Compartiment a enregistré un rendementde -19,4 pour cent sur une base brute de commissions, contre 4,2 pour cent pour une référence comparable.*Analyse du marchéLes troubles politiques en Tunisie, en Égypte et en Côte-d’Ivoire ont diminué au deuxième trimestre et la vente massive observéeau premier trimestre a ralenti. Cependant l’aversion au risque qui s’est emparée du marché mondial au troisième trimestre n’a paslaissé les marchés africains indemnes. Les principaux marchés ont été les plus touchés en raison de la baisse des liquiditésdisponibles et de la chute de la valeur de leur devise respective. En particulier, les pays ayant connu les plus mauvais résultats aucours du trimestre sont le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Égypte, qui ont enregistré respectivement un recul de 27,5 pourcent, 19,0 pour cent, 19,0 pour cent et 11,0 pour cent en USD. Les petits marchés ont bien résisté au cours du trimestreprincipalement en raison de leur manque de liquidité, à l’exception du Botswana et du Ghana qui ont baissé de 12,6 pour cent et18,2 pour cent respectivement. Les autres marchés qui ont bien tenu au cours du trimestre sont la Namibie, qui a connu une baissede 4,4 pour cent seulement et la Tunisie qui a résisté à la tendance et affiché un rendement de 4,3 pour cent en USD.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceL’exposition au Nigeria, à l’Égypte et à l’Afrique du Sud a favorisé le rendement global du Compartiment, en particulier les titresliés aux ressources, à la consommation, à la téléphonie mobile et les valeurs financières. Le secteur bancaire est celui qui a portéle plus préjudice à la performance du portefeuille, toutes les valeurs bancaires détenues ayant nui à la performance. L’expositionau secteur des ressources d’Afrique du Sud a été l’autre grand détracteur de la performance, les investisseurs ayant vendumassivement les valeurs de ce dernier sur fond de craintes de ralentissement de l’économie mondiale. La forte dépréciation duRand sud-africain (« ZAR ») a exacerbé la performance négative. La poursuite de l’abaissement des notations des entreprises detélécommunication sur le continent, et les groupes cimentiers et pétroliers, ont été néfastes pour le rendement. Côté bonnesnouvelles, l’exposition du Compartiment à African Barrick Gold a contribué positivement à la performance du portefeuille. Lerisque de change, en particulier l’exposition au Rand, s’est révélé particulièrement négatif.PerspectivesL’économie mondiale va continuer de croître à court terme, mais à un rythme plus lent qu’à la sortie de la récession. La zone eurodevrait entrer en récession en raison des crises de la dette souveraine et bancaire, tandis que la croissance des États-Unis devraitrester à la limite du décrochage. Le prix élevé du pétrole, la hausse des taux d’intérêt des marchés en développement et lesmesures d’austérité dans la plupart des économies développées entraineront une croissance mondiale future encore plus lente.Compte tenu du contexte de forte inflation et d’affaiblissement des devises, le développement des économies africaines estégalement sensé enregistrer un ralentissement qui n’était pas initialement prévu. L’Égypte pose encore un risque politique majeur,et nous continuerons de surveiller de près les développements dans ce domaine. La mort de Mouammar Kadhafi et donc la reprisede la production de pétrole en Libye, la bonne pluviométrie et des récoltes exceptionnelles, permettront d’atténuer les pressionsinflationnistes dans la plupart des pays africains et favoriseront une croissance plus forte dans ces derniers.La performance passée ne saurait être une indication des performances actuelles ou futures.* Source de référence : LIBOR US$ 1 mois + 4 %<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong>s Ireland LimitedNovembre 2011314 Pan African Fund

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