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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>The World Equity Fund IIRapport du GestionnaireGestionnaires de portefeuilleGoodman and <strong>Company</strong> <strong>Investment</strong> Counsel LtdHarris Associates, L.P.MFS <strong>Investment</strong> ManagementSanders Capital, LLCTradewinds NWQ Global Investors, LLCT. Rowe Price Global <strong>Investment</strong> ServicesObjectif d’investissementThe World Equity Fund II (le « Compartiment ») cherchera l’appréciation du capital en investissant principalement sur des titresde participation, notamment des actions ordinaires, des titres convertibles et des bons de souscription cotés, échangés ou négociéssur les marchés réglementés de l’Indice <strong>Russell</strong> Global Large Cap Net.Performance du CompartimentAu cours du semestre clôturé le 30 septembre 2011, le Compartiment a enregistré un rendement de -17,4 pour cent sur une basebrute de commissions (-17,8 pour cent sur une base nette de commissions), contre -17,6 pour cent pour l’indice de référence*.Analyse du marchéLes actions mondiales ont terminé le deuxième trimestre 2011, marqué par des conditions économiques tumultueuses, en territoirepositif, le <strong>Russell</strong> Global Developed Large Cap Index enregistrant un rendement de 0,5 pour cent en USD. La crise de la detteeuropéenne s’est intensifiée durant la période notamment en raison de la Grèce dont il était anticipé qu’elle aurait besoin d’uncrédit relais d’urgence pour éviter un défaut de paiement. Le trimestre s’est néanmoins terminé sur une note positive, le paysaccablé par sa dette ayant fini par accepter les mesures d’austérité nécessaires pour s’assurer l’aide financière internationale. Lescraintes inflationnistes ont persisté parmi les économies émergentes, les banques centrales ont ainsi pris de nouvelles mesures deresserrement monétaire qui ont freiné l’optimisme des investisseurs. Au niveau des pays, l’Allemagne et la France ont connu debonnes performances malgré la crise de la zone euro, les investisseurs étant confiants du dénouement positif de la situation enGrèce. La possibilité que la Grèce évite le défaut a également bénéficié les pays du groupe PIIGS tels que l’Irlande et l’Espagne.En revanche, le Japon a continué de reculer en raison des effets persistants du tremblement de terre du mois de mars. Du point devue sectoriel, les valeurs des soins de santé ont surperformé, principalement en raison des titres pharmaceutiques européens. Lessecteurs liés à la consommation ont également progressé, tendance favorisée encore une fois par les entreprises européennes tellesque les fabricants de produits de luxe qui ont bénéficié de l’augmentation du revenu disponible des classes privilégiées desnations émergentes. En revanche, le secteur de l’énergie a enregistré la moins bonne performance, les prix du pétrole ayant chutépar rapport aux sommets précédents.Les marchés boursiers mondiaux ont enduré un troisième trimestre très volatile en 2011, l’escalade de la crise dans la zone eurocontinuant de peser sur la confiance des investisseurs. L’indice <strong>Russell</strong> Global Large Cap Net Index a chuté de 17,8 pour cent entermes d’USD durant la période, les marchés européens subissant la majeure partie de ce déclin. La Grèce a chuté de 44,1 pourcent, les marchés jugeant que la perspective d’un défaut était une possibilité croissante, alors que les grands pays européenscomme l’Allemagne (-30,9 pour cent) et la France (-29,6 pour cent) ont également été touchés. Une dépréciation de 8 pour centde l’euro par rapport au dollar américain a exacerbé la sous-performance. Les actions américaines se sont avérées plus résistantes,avec un repli de seulement 15,4 pour cent en dépit d’une série de mauvaises nouvelles. Standard & Poor a abaissé la notation dela dette du pays et le renforcement de la détérioration de l’activité économique a sapé la confiance des investisseurs. Au fur et àmesure que le trimestre progressait, les inquiétudes sur la santé de la reprise économique mondiale sont devenues plus apparenteset ont déstabilisé les marchés émergents, plus sensibles du point de vue économique. En revanche, le Japon s’est avéré un havrerelativement sûr, soutenu en partie par une hausse de 5 pour cent du Yen japonais. Les secteurs défensifs tels que laconsommation de base et la santé ont surperformé, alors que les valeurs financières sont restées à la traîne, et notamment lesbanques européennes. Les secteurs liés aux matières premières, tels que les matériaux et l’énergie, ont également fortement soussurperformédans un contexte de craintes croissantes sur la croissance mondiale. Concernant le style, un repli général vers laqualité, notamment en faveur des grandes capitalisations et au détriment des petites capitalisations, a été observé ainsi qu’uneprédilection pour les valeurs de croissance versus les titres de valeur.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceLe Compartiment a terminé la période de six mois globalement en ligne avec l’indice de référence, obtenant un rendement de 0,2 pourcent.La surperformance de Tradewinds NWQ Global Investors, LLC ce trimestre, est principalement attribuable à sa positionimportante dans les grandes mines d’or. L’intérêt précoce du Gestionnaire de portefeuille pour l’or s’est avéré payant puisque lemétal précieux a battu une série de records historiques nominaux en raison de la prédilection des investisseurs pour les actifsstables. Ailleurs, l’anticonformiste à long terme du Gestionnaire de portefeuille lié à la surpondération au Japon, qui a étémaintenue en dépit de la catastrophe du tsunami, a porté ses fruits.280 The World Equity Fund II

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