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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>RIC-OMIGSA Global Credit FundRapport du GestionnaireGestionnaire de portefeuilleRogge Global Partners <strong>plc</strong>Objectif d’investissementL’objectif d’investissement du Compartiment RIC-OMIGSA Global Credit Fund (le « Compartiment ») consiste à optimiser sonrendement total au travers de la gestion dynamique d’un portefeuille diversifié de titres de créances.Performance du CompartimentAu cours du semestre, le Compartiment a enregistré un rendement de 0,6 pour cent sur une base brute de commissions, contre 2,5pour cent pour l’indice de référence.* Sur 12 mois, le Compartiment a enregistré un rendement de 1,3 pour cent sur une basebrute de commissions, contre 3,3 pour cent pour une référence comparable*.Analyse du marchéLa période s’est terminée par de nouvelles fissures sur les marchés du crédit au niveau mondial. Les malheurs de la zone euro etl’évaluation pessimiste de la Réserve fédérale sur l’économie américaine ont fomenté l’aversion au risque des marchés. Alors queles mauvais chiffres sur la croissance, la volatilité des marchés et l’élargissement des écarts ont soulevé des questions sur lessimilitudes entre ce contexte économique et celui de 2008, les notations d’investissement non officielles et les hauts revenus desentreprises qui continuent d’afficher des bilans solides et des niveaux de liquidités élevés, démontrent le potentiel des achatssélectifs dans les crédits croisés et de qualité supérieure. Les obligations garanties de haute qualité, qui ont surperformé la gammede crédits depuis le début de l’année jusqu’à ce jour, ont connu de nouvelles émissions importantes alors que les spreads sur ladette senior non garantie ont continué de se creuser. La question de savoir si la crise de la zone euro était systémique a affecté lesactions et spreads des banques européennes, en particulier les banques françaises.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceAu cours des trois premiers mois de la période, les contributeurs clés à la performance comprenaient la surpondération àl’Australie et au Canada, une exposition longue au Mexique et à la Corée du Sud, des positions de portefeuille courtes en dollarsaméricains et livres sterling (les deux devises du G10 les plus faibles), les surpondérations à la couronne norvégienne, au Pesomexicain, au Won coréen, et à un panier de positions plus petites dans les devises de marchés émergents. Les principauxdétracteurs de la performance comprenaient une sous-pondération aux pays les moins biens évalués par le gestionnaire deportefeuille (États-Unis, Royaume-Uni et Japon) contre une surpondération au noyau dur européen, une sous-pondération au yenjaponais, une duration sous-pondérée (les marchés des obligations d’État étant généralement haussiers) et une sous-pondérationau même segment que la structure américaine par échéances.Au cours des trois mois suivants de la période, les contributeurs clés à la performance incluaient une sous-pondération au Japon,(l’un des marchés mondiaux les plus faibles en termes de monnaie locale), une surpondération sur le noyau dur européen qui arehaussé les rendements, des surpondérations au Mexique et à la Corée du Sud, l’exposition longue à l’Australie et au Canada, etune sous-pondération aux titres adossés à des créances hypothécaires. Les détracteurs clés de la performance comprenaient unesous-pondération aux États-Unis et au RU, des positions de portefeuille courtes en dollars américains, livres sterling et yensjaponais (les trois devises les plus fortes du G10 au cours du trimestre), des surpondérations à la couronne norvégienne, le dollaraustralien, le dollar canadien, et à un panier de devises des marchés émergents, une surpondération à la duration des spreads dansle secteur financier, une surpondération modeste aux valeurs industrielles, des services publics et à haut rendement.PerspectivesVers la fin du mois, l’appétit du risque plus faible, les données moins bonnes sur la Chine et les risques politiques en Russie sesont traduits par des cessions sur le marché plus importantes de titres d’entreprises des pays émergents. Bien que lescomparaisons avec 2008 puissent être discutables, un parallèle est évident ; le marché reste jusqu’à présent peu convaincu par laréponse de l’Europe aux pressions sur les titres souverains et exercera une pression sur les spreads souverains et financiers tantqu’il n’obtient pas satisfaction très probablement par la mise en place de l’équivalent pour la zone euro de l’U.S. Troubled AssetRelief Program.Les performances passées ne reflètent en aucun cas les performances actuelles ou futures.* Source de référence : Indice Barclays Capital Global Aggregate (Ex-Treasuries)<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong>s Ireland LimitedNovembre 2011RIC-OMIGSA Global Credit Fund 339

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