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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>African Frontiers FundRapport du GestionnaireGestionnaire de portefeuilleOld Mutual Long Term Equity <strong>Investment</strong>sObjectif d’investissementL’objectif d’investissement du compartiment African Frontiers Fund est de réaliser une croissance de long terme du capital eninvestissant dans des sociétés bénéficiant directement d’opportunités de croissance économique de long terme sur le continentafricain (hors Afrique du Sud).Performance du CompartimentAu cours du semestre clôturé le 30 septembre 2011, le Compartiment a enregistré un rendement de -23,4 pour cent sur une basebrute de commissions, contre 2,1 pour cent pour l’indice de référence.* Sur 12 mois, le Compartiment a enregistré un rendementde -21,1 pour cent sur une base brute de commissions, contre 4,2 pour cent pour une référence comparable*.Analyse du marchéLes troubles politiques en Tunisie, en Égypte et en Côte-d’Ivoire ont diminué au deuxième trimestre et la vente massive observéeau premier trimestre a ralenti. Cependant l’aversion au risque qui s’est emparée du marché mondial au troisième trimestre n’a paslaissé les marchés africains indemnes. Les principaux marchés ont été les plus touchés en raison de la baisse des liquiditésdisponibles et de la chute de la valeur de leur devise respective. En particulier, les pays ayant connu les plus mauvais résultats aucours du trimestre sont le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Égypte, qui ont enregistré respectivement un recul de 27,5 pourcent, 19,0 pour cent, 19,0 pour cent et 11,0 pour cent respectivement, en termes de dollar US. Les petits marchés ont bien résistéau cours du trimestre principalement en raison de leur manque de liquidité, à l’exception du Botswana et du Ghana qui ont baisséde 12,6 pour cent et 18,2 pour cent respectivement. Les autres marchés qui ont bien tenu au cours du trimestre sont la Namibie,qui a connu une baisse de 4,4 pour cent seulement et la Tunisie qui a résisté à la tendance et affiché un rendement de 4,3 pour centen dollar US.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceL’exposition au Nigeria et à l’Égypte explique en grande partie le rendement du Compartiment, en particulier les valeursfinancières, liées aux ressources et de la téléphonie mobile. Le secteur bancaire s’est révélé le principal détracteur de laperformance, toutes les banques détenues en portefeuille (à l’exception de Stanbic IBTC que le Compartiment a vendu enréalisant un bénéfice en juin) ont nui au rendement. La poursuite de l’abaissement des notations des entreprises detélécommunication sur le continent, et les groupes cimentiers et pétroliers, ont été néfastes pour le rendement sur la période de sixmois. Côté bonnes nouvelles, l’exposition du Compartiment à African Barrick Gold et Maridive Oil Services a contribuépositivement à la performance du portefeuille. L’exposition du portefeuille aux devises a nui à la performance (- 4,1 pour cent).PerspectivesL’économie mondiale va continuer de croître à court terme, mais à un rythme plus lent qu’à la sortie de la récession. La zone eurodevrait entrer en récession en raison des crises de la dette souveraine et bancaire, alors que les États-Unis devraient croître à lavitesse de décrochage. Le prix élevé du pétrole, la hausse des taux d’intérêt des marchés en développement et les mesuresd’austérité dans la plupart des économies développées entraineront une croissance mondiale future encore plus lente. Leséconomies africaines devraient aussi croître à rythme plus lent que prévu initialement dans un contexte de forte inflation etd’affaiblissement des monnaies. L’Égypte pose encore un risque politique majeur, et nous continuerons de surveiller de près lesdéveloppements dans ce domaine. La mort de Mouammar Kadhafi et donc la reprise de la production de pétrole en Libye, labonne pluviométrie et des récoltes exceptionnelles, permettront d’atténuer les pressions inflationnistes dans la plupart des paysafricains et favoriseront une croissance plus forte dans ces derniers.La performance passée ne saurait être une indication des performances actuelles ou futures.* Source de référence : 1 mois US$ LIBOR plus 4 pour cent<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong>s Ireland LimitedNovembre 2011African Frontiers Fund 307

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