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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>The Global Bond FundRapport du GestionnaireGestionnaires de portefeuilleBrookfield Asset Management Inc.Colchester Global Investors LimitedLoomis, Sayles & <strong>Company</strong>, L.P.Pacific <strong>Investment</strong> Management <strong>Company</strong> LLC (« PIMCO »)<strong>Russell</strong> Implementation Services Inc.Objectif d’investissementL’objectif d’investissement du compartiment The Global Bond (Euro Hedged) Fund (le « Compartiment ») consiste à générer unecroissance des revenus et du capital en investissant principalement sur des titres de créance transférables libellés dans différentesdevises, incluant notamment, sans pour autant s’y limiter, des obligations municipales et d’État, des titres de créance d’agences(émis par les autorités locales ou les organismes publics internationaux dont un ou plusieurs gouvernements sont membres), destitres de créances sur hypothèque et des titres de créance de sociétés cotés, échangés ou négociés sur un marché réglementé dansl’OCDE et pouvant être assortis de taux d’intérêt fixes ou flottants.Performance du CompartimentAu cours du semestre clôturé le 30 septembre 2011, le Compartiment a enregistré un rendement de 2,7 pour cent sur une basebrute de commissions (2,3 pour cent sur une base nette de commissions), contre 4,1 pour cent pour l’indice de référence.*Analyse du marchéLe Barclays Capital Global Aggregate Bond Index (l’« Indice ») non couvert a présenté un rendement de 3,1 pour cent audeuxième trimestre. En termes de dollars américains « couvert », l’indice s’est apprécié de 1,7 pour cent. La crise de la dettesouveraine européenne et la faiblesse des données économiques américaines ont soutenu les obligations d’État, tandis que lesmarchés du crédit ont pâti de l’aversion au risque. Les marchés du crédit ont bien entamé le trimestre et les spreads sur les bonsdu Trésor ont continué de diminuer en avril ; la demande de titres de créance d’entreprises est restée forte. L’offre a donc étéimportante, les entreprises ayant cherché à profiter de l’occasion offerte par des taux d’intérêt arrivés à des planchers historiquespour sécuriser leurs finances. Les marchés du crédit ont sous-performé en juin, en particulier en Europe où les préoccupations àl’égard d’un possible défaut de paiement grec ont érodé la confiance des investisseurs dans des actifs plus risqués. Les obligationsd’État se sont portées de mieux en mieux sur un trimestre où l’appétit du risque a diminué en raison de l’inquiétude concernant laGrèce. Les investisseurs ont fui les créances émises par les entreprises et les marchés européens endettés et se sont repliés sur desvaleurs refuge comme les bons et titres du Trésor américain, les « bunds » allemands, les « gilts » britanniques et les obligationsdu gouvernement japonais. Les données économiques plus faibles aux États-Unis ont également soutenu la demande de bons ettitres du Trésor - l’indice manufacturier ISM a plongé, les prix immobiliers ont chuté à leur niveau de 2002 et les chiffres del’emploi ont été décevants. En Europe, la solide économie allemande a persuadé la BCE de relever ses taux d’intérêt au secondtrimestre et de prévoir une hausse supplémentaire des taux pour juillet.Pendant le troisième trimestre 2011, l’Indice a gagné 1,0 pour cent sur une base non couverte et 3,0 pour cent sur une base decouverture en dollars américains. Les obligations d’entreprise ont sous-performé, les inquiétudes concernant la dette européenneet la croissance économique mondiale ayant poussé les investisseurs vers la sécurité des obligations d’État. La faiblesseéconomique observée à fin du deuxième trimestre s’est poursuivie et accélérée au troisième trimestre. L’aversion au risque agrandi à mesure que les données économiques ont empiré aux États-Unis et dans d’autres parties du monde occidental. Pendant cetemps, la crise de la dette de la zone euro a menacé de monter en flèche, les politiciens semblant incapables de trouver unesolution satisfaisante à la situation de la Grèce. L’impact sur les marchés des obligations de sociétés a été patent- les écarts parrapport aux obligations d’État ont fortement augmenté et les nouvelles émissions se sont taries. Dans ce contexte, les obligations àhaut rendement ont été plus durement touchées que les émissions d’investissement de qualité « investment grade ». Pour desraisons similaires, les marchés mondiaux du crédit sont restés à la traine par rapport aux obligations d’État car les investisseursont vendu le crédit pour acheter des valeurs refuge comme les bons et titres du Trésor, les « gilts », les « bunds » et les obligationsdu gouvernement japonais. Malgré la faiblesse des données économiques, les investisseurs se sont mis à espérer de nouvellesmesures de relance monétaire, notamment aux États-Unis et au Royaume-Uni. Cet espoir a maintenu une pression à la baisse surles rendements des obligations gouvernementales.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceLe Compartiment a fini derrière l’indice de référence au cours du semestre, avec une perte de 1,4 pour cent par an.Colchester Global Investors Limited, qui se concentre sur les titres d’État dans le cadre de ce mandat, a sur-performé l’indice deréférence et ses homologues du Compartiment durant la période. Le positionnement du gestionnaire de portefeuille en matière detaux d’intérêt, pays, devises et sécurité (sous-pondération du crédit) ont été les principaux moteurs de sa force relative. Lasurpondération du gestionnaire de portefeuille sur les obligations du gouvernement irlandais a été payante, car les rendementsirlandais ont fortement chuté.The Global Bond Fund 53

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