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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>RIC-OMIGSA Global (ex U.S.) Bond FundRapport du GestionnaireGestionnaire de portefeuilleRogge Global Partners <strong>plc</strong>Objectif d’investissementL’objectif d’investissement du Compartiment RIC-OMIGSA Global (ex U.S.) Bond Fund (le « Compartiment ») consiste àoptimiser son rendement total au travers de la gestion dynamique d’un portefeuille diversifié de titres de créances.Performance du CompartimentAu cours du semestre, le Compartiment a enregistré un rendement de 2,6 pour cent sur une base brute de commissions, contre 2,9pour cent pour l’indice de référence.* Sur 12 mois, le Compartiment a enregistré un rendement de 3,5 pour cent sur une basebrute de commissions, contre 3,3 pour cent pour une référence comparable.*Analyse du marchéDurant les premiers mois de la période, les perturbations et interruptions de l’offre pour le secteur des industries liées au séismedu Japon et la faiblesse économique associée se sont atténuées durant les mois d’été. Les prix du pétrole et des produits de base sesont repliés par rapport à leurs plus hauts de la fin avril. Ces deux facteurs ont assuré une base de soutien pour les perspectives dela croissance mondiale à l’entrée du second semestre et le fait que les décideurs politiques de l’Union européenne aient accepté delibérer la tranche suivante d’aide à la Grèce s’est avéré positif pour les actifs risqués durant les mois d’été. Les indicateurséconomiques avancés ont aussi suggéré que la reprise économique mondiale serait soutenue durant le second semestre, legestionnaire prévoyant néanmoins que, le processus de désendettement continuant dans le monde développé, la repriseéconomique pour ces marchés resterait réduite par rapport aux niveaux historiques. Les thèmes dominants du troisième trimestreont été l’aversion au risque générale, les incertitudes accrues concernant les perspectives de l’économie mondiale et les craintesd’un défaut désordonné de la Grèce. Vers la fin de la période de six mois, les obligations d’État étaient valorisées à des niveauxélevés, les courbes de rendement s’aplatissant dans la partie longue, et les marchés d’actions se sont fortement repliés. Le dollaraméricain a bénéficié de cette aversion au risque, sur une base pondérée de transactions atteignant son plus haut niveau depuis lemois de janvier. Les prix des produits de base se sont aussi repliés.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceDurant les trois premiers mois, les contributions positives à la performance ont inclus des surexpositions à l’Australie et auCanada qui ont renforcé la performance et une exposition « acheteuse » pour le Mexique et la Corée du Sud, une position« vendeuse » liée à la livre qui s’est avérée l’une des devises les plus faibles du groupe G10 durant le second trimestre, dessurpondérations liées à la couronne norvégienne, au peso mexicain et au won coréen, et un panier de positions de change moinsimportantes liées à des pays émergents. Les contributions négatives à la performance ont inclus : une sous-pondération duRoyaume-Uni et du Japon, une sous-pondération du yen japonais, une surpondération du dollar canadien par rapport à l’euro, unesous-pondération de la duration (les marchés des obligations d’État étant généralement bien valorisés), une sous-pondération de lalivre sterling à moyen terme, une modeste surpondération du secteur de la finance (en dépit d’un mois d’avril très performant) etune surpondération des obligations couvertes et des marchés des spreads liés aux titres d’État. Globalement, une concentration surles émetteurs conservateurs à faible bêta au sommet de la hiérarchie a contribué à limiter les pertes.Durant les trois mois suivants de la période, les contributions positives à la performance ont inclus une sous-pondération du Japon(l’un des marchés mondiaux ayant enregistré la plus faible performance en termes de devise locale durant la période), unesurpondération du Canada et de l’Australie, une exposition « acheteuse » liée au Mexique et à la Corée, une petite surpondérationdu noyau dur européen (sur une base relative par rapport aux pays périphériques et aux autres pays) et une sous-pondérationmodeste du secteur des services publics. Les contributions négatives à la performance ont inclus une sous-pondération du yenjaponais (qui s’est avéré la devise la plus forte du groupe G10 durant le trimestre), une sous-pondération de la livre sterling et del’euro, un biais « vendeur » lié à la duration globale (les rendements ayant généralement continué de suivre une trajectoirebaissière), une sous-pondération liée à la livre sterling et au yen japonais à moyen terme, et une surpondération de la duration despread pour le secteur financier ainsi que l’allocation aux titres à haut rendement.PerspectivesLa volatilité des marchés au cours des derniers mois suggère une crise de confiance croissante concernant la capacité desdécideurs politiques de résoudre les problèmes de l’économie mondiale. Les divergences des décideurs politiques européens surla manière de résoudre la crise de la dette souveraine de la région ne font qu’empirer la situation. Vers la fin de l’année, lesmarchés financiers chercheront des réponses liées à l’instabilité accrue de la zone euro et à la manière dont les risques decontagion dans la région seront gérés. Le flux de données économiques mondiales futur s’avérera aussi crucial pour évaluerl’évolution de la croissance mondiale par rapport à des prévisions relativement pessimistes. Les économies de certains paysdéveloppés doivent se préparer à vivre plusieurs années de croissance économique faible inférieure au potentiel. Nous prévoyonsdonc que les banques centrales du monde développé vont continuer d’utiliser tous les outils monétaires à leur disposition comptetenu de la faiblesse de la conjoncture économique. Sur la base de l’analyse des valeurs relatives par le gestionnaire, les pays lesmieux notés sont la Norvège, le Canada et l’Australie. Au bas de son classement, on trouve le Japon, les États-Unis et leRoyaume-Uni. Le portefeuille géré a une exposition surpondérée liée aux marchés des taux d’intérêt locaux de la Corée et duMexique, un panier de devises des pays émergents (en Asie et Amérique latine), et des titres de crédit de qualité « investmentgrade ». Il a une préférence pour les émetteurs étant des entreprises internationales diversifiées présentant une solide situationfinancière.La performance passée ne saurait être une indication des performances actuelles ou futures.* Source de référence : Indice Barclays Capital Global Aggregate ex US Bond<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong>s Ireland LimitedNovembre 2011384 RIC-OMIGSA Global (ex U.S.) Bond Fund

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