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Russell Investment Company plc - Russell Investments

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<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong> <strong>Company</strong> <strong>plc</strong>RIC-OMIGSA Value Global Equity FundRapport du GestionnaireGestionnaire de portefeuilleBarrow, Hanley, Mewhinney & Strauss Inc.Objectif d’investissementL’objectif d’investissement du Compartiment RIC-OMIGSA Global Equity Fund (le « Compartiment ») consiste à optimiser sonrendement total au travers de la gestion dynamique d’un portefeuille diversifié de titres d’émetteurs du monde entier.Performance du CompartimentAu cours du semestre clôturé le 30 septembre 2011, le Compartiment a enregistré un rendement de -22,5 pour cent sur une basebrute de commissions, contre -17,7 pour cent pour l’indice de référence*. Le Compartiment a été créé le 1 novembre 2010 et n’apas encore un historique de performances de douze mois.Analyse du marchéAu cours du deuxième trimestre, et surtout en juin, de nombreuses positions du portefeuille dans la banque européenne ont chutéen raison de la vague de nouvelles négatives et des craintes entourant la dette souveraine.Le troisième trimestre a été difficile du fait essentiellement de facteurs macroéconomiques qui ont fait baisser les marchésmondiaux de plus de 17 pour cent en équivalents USD, tels que mesurés par le MSCI All Country World Index. Les résultats trèspositifs en termes de profits ont été éclipsés par la détérioration de la confiance des investisseurs, intensifiée par la volatilité desmarchés liée aux problèmes de la dette souveraine qui ont requis un deuxième plan de sauvetage de l’UE et du FMI pour la Grèce.L’Italie a fait face à un destin comparable, les spreads des obligations souveraines se creusant sur fond de craintes d’un sauvetagesimilaire. Au cours du trimestre, les rendements négatifs étaient la norme, et peu d’endroits où investir semblaient sûrs : aucundes dix secteurs économiques, ni aucune des grandes régions géographiques n’a fourni un rendement absolu positif.Commentaire général sur les gestionnaires de portefeuille/la performanceAu deuxième trimestre, les principaux contributeurs clés ont été la sélection de titres dans le secteur de l’énergie, une souspondérationet une meilleure performance boursière relative des participations du portefeuille dans l’énergie, les soins de santé etles services publics. Parmi les principaux détracteurs de la performance on trouve la surpondération au secteur financier, lasélection de titres financiers, la sélection au sein du secteur des matériaux au niveau mondial, la sélection d’actions du secteur desservices de télécommunication, la sélection de titres de la consommation de base et une allocation excessive aux actions destechnologies de l’information ainsi que leur mauvaise performance.Au troisième trimestre, le contexte négatif a affecté la performance des actions du portefeuille et la répartition sectorielle qui enrésulte. Plus précisément, la performance relative des actions dans tous les secteurs, à l’exception des services publics, a nui aurendement. Une seule position du portefeuille, une entreprise de services publics britannique, a eu un rendement positif au coursdu trimestre. La surpondération aux valeurs des technologies de l’information et la sous-pondération aux matériaux ont contribuéà la performance. Inversement, la sous-pondération aux services publics et aux services de télécommunication a entravé lerendement. Au niveau régional, la sous-pondération à l’Europe continentale a favorisé les résultats positifs, mais l’expositionsimilaire au Japon, qui sur une base relative a été la région la plus performante, a pénalisé le rendement du portefeuille. De plus,l’exposition minime du portefeuille aux marchés émergents a fortement favorisé la performance.PerspectivesL’environnement récent sur les marchés mondiaux a été extrêmement volatile et très difficile pour tous les investisseurs. Il estdifficile d’évaluer combien de temps encore les actions et les marchés d’actions resteront axés sur les questions macro ethautement corrélés. L’Europe semble vaciller sur une base fragile alors que les courtiers se querellent sur la meilleure façond’aborder et de gérer les crises de la dette souveraine. Les préoccupations relatives à la croissance mondiale à court terme et auralentissement de la consommation, se nourrissent des craintes d’un ralentissement de l’économie chinoise et d’une éventuellerécession mondiale. Lorsque les questions macro-économiques sont le moteur des marchés, les corrélations deviennent souventbeaucoup plus grandes et influencent les mouvements des titres beaucoup plus que les facteurs fondamentaux ou les nouvellesspécifiques aux sociétés. La lueur d’espoir dans cet environnement est que l’incertitude, la controverse, et la peur fournissentgénéralement de bons points de départ pour des rendements démesurés à l’avenir, tout en créant des points d’entrée attrayantspour les investissements qui méritent un examen plus approfondi du gestionnaire.La performance passée ne saurait être une indication des performances actuelles ou futures.* Source de référence : Indice MSCI All Country World<strong>Russell</strong> <strong>Investment</strong>s Ireland LimitedNovembre 2011RIC-OMIGSA Value Global Equity Fund 321

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