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Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

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⊙ ⊕ ∅<br />

Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 5 • section 22.1.1 • Page 269 <strong>de</strong> 396<br />

<strong>de</strong> nouvelle constante) :<br />

∆x 1 (t) = −ε ∑ k<br />

∫<br />

∆x 2 (t) = ∆n dt + ε ∑ k<br />

¯n<br />

(k · n x2 ) P 1k(¯x 1 ) cos(k · ¯x 2 )<br />

¯n<br />

(k · n x2 ) P 2k(¯x 1 ) sin(k · ¯x 2 )<br />

(5.77)<br />

Dans cette <strong>de</strong>rnière expression, seule la première composante <strong>de</strong> ∆n est non nulle et égale à : − 3¯n<br />

2ā<br />

∆a (où<br />

∆a = ∆x 1 1). Dans ∆x 1 2 (c’est-à-dire dans ∆M), on a donc <strong>de</strong>s termes intégrés <strong>de</strong>ux fois :<br />

∫<br />

∆n dt = 3<br />

2ā ε ∑ k<br />

¯n 2<br />

(k · n x2 ) 2 P 1 1k(¯x 1 ) sin(k · ¯x 2 ) (5.78)<br />

En résumé, la solution ainsi obtenue comporte une partie ¯x i constante ou linéaire en t et appelée partie séculaire<br />

; elle est d’ordre zéro en ε. La partie ∆x i est une somme <strong>de</strong> termes périodiques, donc nulle en moyenne sur<br />

un temps infini. Alors, dans les équations (5.66) et (5.67), les termes S et P ik sont aussi appelés respectivement<br />

termes séculaires et termes périodiques.<br />

Remarque. On constate que les solutions ∆x i ont toutes ε en facteur ; elles sont donc bien <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong> ε<br />

à condition qu’en facteur <strong>de</strong> cet ε on n’ait pas une quantité <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong> 1/ε. Or, l’intégration <strong>de</strong>s termes<br />

trigonométriques fait intervenir les diviseurs (k · n x2 ) = jn M + kn ω + ln Ω ; bien sûr, il faut que ces diviseurs<br />

soient tous différents <strong>de</strong> zéro, et même plus, si l’on veut que ∆x i soit <strong>de</strong> l’ordre <strong>de</strong> ε, il faut que, quelque soit k,<br />

les produits (k·n x2 ) soient grands <strong>de</strong>vant ε ¯n. En outre, comme certains termes subissent une double intégration,<br />

donc avec <strong>de</strong>s diviseurs élevés au carré, il faut même avoir (k · n x1 ) ≫ √ ε ¯n. Comme on a exclus le triplet<br />

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