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Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

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Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 6 • section 26.1.1 • Page 364 <strong>de</strong> 396<br />

1 en Z dans dZ/dt ; au contraire, elle est <strong>de</strong> <strong>de</strong>gré 0 au moins dans dL/dt [ces termes <strong>de</strong> <strong>de</strong>gré 0 proviennent <strong>de</strong><br />

la partie séculaire <strong>de</strong> na 2 ∂U dans dL, cf. (5.51) ou (5.52)].<br />

∂a dt<br />

Remarque 2. Pour obtenir les équations (6.114) et (6.117) relatives aux variables réelles η k et L k , on a utilisé les<br />

développements (6.103) et (6.104) <strong>de</strong> U k exprimés en variables complexes, d’où les expressions complexes <strong>de</strong> ces<br />

équations. Cependant on aurait pu partir d’une expression <strong>de</strong> U k en variables réelles analogue à (6.90), montrant<br />

notamment un développement “en cosinus” dont les arguments sont formés <strong>de</strong> combinaisons <strong>de</strong>s longitu<strong>de</strong>s<br />

moyennes et <strong>de</strong>s longitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s nœuds et <strong>de</strong>s péricentres. Alors, comme d’après (5.51) da est proportionnel à<br />

dt<br />

∂U , les variations dη k<br />

auraient pu être exprimées sous forme <strong>de</strong> séries en “sinus” <strong>de</strong> ces mêmes arguments ; <strong>de</strong><br />

∂L dt<br />

même, celles <strong>de</strong>s dL k<br />

seraient <strong>de</strong>s séries en cosinus.<br />

dt<br />

26.1. Théorie à variations séculaires : Métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Le Verrier<br />

Comme pour les métho<strong>de</strong>s <strong>de</strong> perturbation vues en §5-22, la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Le Verrier procè<strong>de</strong> par approximations<br />

successives, ordonnées ici suivant les puissances croissantes <strong>de</strong>s masses perturbatrices. La métho<strong>de</strong><br />

suppose que l’on connait la valeur <strong>de</strong> ces masses perturbatrices avec la meilleure précision possible ; si ces<br />

masses sont connues <strong>de</strong> façon approchée, on pourra améliorer leur détermination en développant les équations<br />

analytiquement au voisinage <strong>de</strong> ces valeurs, puis, une fois construite leur solution, on pourra améliorer ces valeurs<br />

en ajustant cette solution aux observations. Dans toute la suite cependant, pour simplifier, les masses seront<br />

supposées fixées numériquement et on ne recherchera pas une solution analytique par rapport aux masses.<br />

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