01.09.2015 Views

Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

⊙ ⊕ ∅<br />

Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 6 • section 25.1.7 • Page 356 <strong>de</strong> 396<br />

(ϖ − ϖ ′ ) ou (Ω − Ω ′ ) que l’on qualifierait <strong>de</strong> “termes à longue pério<strong>de</strong>” si l’on distinguait, comme en §22, les<br />

variables angulaires <strong>de</strong>s variables métriques : En fait, dans les problèmes <strong>de</strong> type planétaire, la partie séculaire<br />

d’un développement n’est pas l’ensemble <strong>de</strong>s termes indépendants <strong>de</strong>s variables angulaires, mais par définition,<br />

l’ensemble <strong>de</strong>s termes indépendants <strong>de</strong>s seules longitu<strong>de</strong>s moyennes. Notons encore que les coefficients <strong>de</strong><br />

Laplace définis en (6.78) vérifient un certain nombre <strong>de</strong> relations <strong>de</strong> récurrence que l’on pourrait établir en<br />

dérivant (6.76), fonction génératrice <strong>de</strong> ces coefficients, par rapport à ψ ou par rapport à ρ. On peut en déduire<br />

d’autres relations <strong>de</strong> récurrence entre les fonctions ϕ (j)<br />

n,m(α 0 ) ; on montrerait en particulier que les coefficients<br />

qui apparaissent dans les expressions (6.91) et (6.92) vérifient la relation :<br />

2 ϕ (0)<br />

1,2 + 3 2 ϕ(0) 1,1 = 1 4 α 0 ϕ (1)<br />

3,0 (6.93)<br />

25.1.7. Remarques sur les propriétés <strong>de</strong> d’Alembert et <strong>de</strong> parité <strong>de</strong>s séries<br />

Nous avons rencontré ces propriétés dans tous les développements construits jusqu’ici, notamment ceux <strong>de</strong><br />

1/∆ ou ceux <strong>de</strong>s perturbations indirectes <strong>de</strong> U ou U ′ . Ces développements peuvent tous être organisés en séries<br />

<strong>de</strong> termes T <strong>de</strong> la forme :<br />

T = Cz k z k z ′k′ z ′k′ ζ l ζ l ζ ′l′ ζ ′l′ exp √ −1(pL + p ′ L ′ ) (6.94)<br />

Nous avons vu en (6.71) que la propriété <strong>de</strong> d’Alembert correspond, pour chaque terme T , à l’égalité <strong>de</strong> la<br />

caractéristique du monôme et <strong>de</strong> la caractéristique <strong>de</strong> l’inégalité :<br />

C I = p + p ′ = k − k + l − l + k ′ − k ′ + l ′ − l ′ = C M (6.95)<br />

En fait, dans le cas <strong>de</strong> 1/∆, cette propriété est une conséquence <strong>de</strong> l’invariance <strong>de</strong>s distances r, r ′ et ∆ dans<br />

toute rotation du repère <strong>de</strong> référence R 0 autour <strong>de</strong> l’axe P 0 k 0 . Pour montrer cette invariance, il suffit <strong>de</strong> voir que<br />

•Sommaire •In<strong>de</strong>x •Page d’accueil •Précé<strong>de</strong>nte •Suivante •Retour •Retour Doc •Plein écran •Fermer •Quitter

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!