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Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

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Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 6 • section 25.1.2 • Page 334 <strong>de</strong> 396<br />

25.1.2. Développement <strong>de</strong> r n /r ′n+1<br />

On a vu dans la partie 3 comment obtenir les développements du mouvement képlérien elliptique sous forme<br />

<strong>de</strong> séries entières <strong>de</strong>s variables X et X. Les développements utiles ici sont ceux <strong>de</strong> (r/a) n exp √ −1m(w −<br />

M), exprimés en coefficients <strong>de</strong> Hansen et en anomalie moyenne (cf. (3.146)). Comme les excentricités sont<br />

supposées petites, on peut tronquer ces séries à un <strong>de</strong>gré d donné relativement faible (pour la plupart <strong>de</strong>s planètes<br />

d peut être pris entre 2 et 7). On peut ainsi présenter le développement (3.146) sous la forme d’un polynôme <strong>de</strong><br />

<strong>de</strong>gré d par rapport aux variables X et X :<br />

( r n<br />

√ exp −1m(w − M) =<br />

a) ∑<br />

C n,m<br />

k,k Xk X k + O(e d+1 ) (6.49)<br />

0≤k+k≤d<br />

Bien sûr, ici, et dans <strong>de</strong>s situations analogues ultérieures, k ne représente pas le conjugué <strong>de</strong> k, mais une<br />

simple notation pour les exposants entiers <strong>de</strong> X. Pour obtenir ces développements, on peut suivre la métho<strong>de</strong><br />

expliquée dans la remarque 2 du §3-13.8, en calculant d’abord les développements <strong>de</strong> (a/r), <strong>de</strong> (r/a) et <strong>de</strong><br />

θ = exp √ −1(w − M) ; on les donne ici, limités par exemple au <strong>de</strong>gré 2 en excentricité :<br />

Dev2.2.2<br />

a<br />

r = 1 + 1 2 (X + X) + 1 2 (X2 + X 2 ) + O(e 3 )<br />

r<br />

a = 1 − 1 2 (X + X) − 1 4 (X2 − 2XX + X 2 ) + O(e 3 )<br />

θ = 1 + (X − X) + 1 8 (9X2 − 8XX − X 2 ) + O(e 3 )<br />

(6.50)<br />

Ces polynômes permettent ensuite <strong>de</strong> construire successivement tous les développements <strong>de</strong> (r/a) n θ m à partir<br />

<strong>de</strong> n = 0 ou <strong>de</strong> m = 0, en faisant simplement <strong>de</strong>s produits <strong>de</strong> polynômes (pour m < 0, on part du conjugué <strong>de</strong><br />

θ). Bien sûr, les développements <strong>de</strong> (a ′ /r ′ ) etc.. . . s’obtiennent en changeant X et X en X ′ et X ′ .<br />

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