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Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

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⊙ ⊕ ∅<br />

Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 6 • section 25.1.4 • Page 345 <strong>de</strong> 396<br />

eux-mêmes regroupés par <strong>de</strong>grés d :<br />

∑<br />

j<br />

∑<br />

k,k,k ′ ,k ′ z k z k z ′k′ z ′k′<br />

∑<br />

d=0,2,4,···<br />

( ∑<br />

l+l+l ′ +l ′ =d<br />

C M,j ζ l+l′ ζ l+l′ )<br />

exp √ −1(pL + p ′ L ′ )<br />

Alors, pour chaque valeur <strong>de</strong> p et <strong>de</strong> p ′ , pour chaque 4-uplet (k, k, k ′ , k ′ ), et pour chaque <strong>de</strong>gré d non nul,<br />

les coefficients C M,j présents dans la sommation mise entre parenthèses ont une somme i<strong>de</strong>ntiquement nulle.<br />

Quand on effectue la troncature <strong>de</strong>s développements, il convient <strong>de</strong> respecter cette structure et <strong>de</strong> conserver tous<br />

les termes d’un même <strong>de</strong>gré en inclinaisons, surtout si ces inclinaisons sont fortes. Si les <strong>de</strong>ux plans d’orbite sont<br />

voisins tout en étant fortement inclinés sur le plan <strong>de</strong> référence, les inclinaisons i et i ′ sont fortes mais voisines<br />

tandis que J est faible : Il convient alors <strong>de</strong> faire la troncature <strong>de</strong>s développements sans dissocier les termes <strong>de</strong><br />

même <strong>de</strong>gré issus <strong>de</strong>s quantités (χζ ′ − χ ′ ζ) et (χχ ′ + ζζ ′ ) . Finalement, ce qui importe pour pouvoir tronquer<br />

les développements, ce n’est pas que les 2 inclinaisons soient faibles, mais bien plutôt que ce soit l’inclinaison<br />

mutuelle qui soit faible.<br />

25.1.4. Développement <strong>de</strong> 1/∆ en coefficients <strong>de</strong> Laplace<br />

Si α est trop grand, le développement (6.48) en polynômes <strong>de</strong> Legendre et en puissances <strong>de</strong> α converge<br />

trop lentement pour être utilisable. C’est le cas <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> type planétaire où α peut atteindre <strong>de</strong>s valeurs<br />

voisines <strong>de</strong> 0,8 . En effet, examinons ce développement, tronqué à un certain <strong>de</strong>gré d, dans le cas plus<br />

simple <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux orbites circulaires et coplanaires : On a alors 1/∆ = (1/a ′ ) ∑ d<br />

n=0 αn P n (cos S) ; après avoir<br />

développé chaque polynôme <strong>de</strong> Legendre, on peut exprimer les puissances <strong>de</strong> cos S en fonction <strong>de</strong>s cos pS,<br />

puis factoriser chaque cos pS ; on obtient ainsi un développement analogue à une série <strong>de</strong> Fourier, <strong>de</strong> la forme<br />

(1/a ′ ) ∑ d<br />

p (α) cos pS, où les fonctions φ (d)<br />

p (α) sont <strong>de</strong>s polynômes <strong>de</strong> <strong>de</strong>gré d en α. Avec α = 0,8 et<br />

p=0 φ(d)<br />

Dev3.4.4<br />

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