01.09.2015 Views

Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

SHOW MORE
SHOW LESS

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

⊙ ⊕ ∅<br />

Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 6 • section 24.2.0 • Page 318 <strong>de</strong> 396<br />

qualitativement la même forme pour d’autres valeurs <strong>de</strong> ν.<br />

1.5<br />

0.5<br />

y 0<br />

–0.5<br />

–1<br />

–1.5<br />

1<br />

–1.5 –1 –0.5 0 0.5 1 1.5<br />

x<br />

Figure A<br />

3.5<br />

3<br />

2.5<br />

2<br />

1.5<br />

1.5<br />

0.5<br />

1<br />

Figure B<br />

y 0<br />

–0.5<br />

–1<br />

–1.5<br />

–1.5<br />

1.5<br />

1<br />

0.5<br />

0<br />

–0.5 x<br />

–1<br />

Le fond <strong>de</strong> chaque vallée correspond à C 1 = 1, 5 (quelque soit ν), là où la courbe <strong>de</strong> vitesse nulle est réduite à un<br />

point ; ce point correspond précisément à l’un <strong>de</strong>s points d’équilibre équilatéral <strong>de</strong> Lagrange L 4 ou L 5 : Si l’on<br />

place P 2 en l’un <strong>de</strong> ces points avec une vitesse nulle, il y reste car en ces points on a grad W 1 = 0. Au contraire,<br />

si l’on place P 2 en l’un <strong>de</strong> ces points avec une vitesse V non nulle, la constante C 1 est alors inférieure à 1, 5 (elle<br />

vaut 1, 5 − V 2 /(2n 2 1a 3 1)) et donc le plan z = C 1 ne coupe pas la surface z = W 1 (x, y). Dans ces conditions,<br />

P 2 peut à priori atteindre n’importe quel point (x, y) du plan et sa vitesse ne s’annulle jamais. L’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s<br />

éventuels petits mouvements au voisinage <strong>de</strong>s positions L 4 et L 5 est un autre problème : On pourrait le résoudre<br />

en linéarisant les équations (6.25) et (6.26), c’est-à-dire en faisant le changement <strong>de</strong> variables : (x, y) ↦→ (ξ, η)<br />

défini par x = a 1 (1/2 + ξ) et y = a 1 (± √ 3/2 + η) et en supposant que ξ et η sont <strong>de</strong>s infiniment petits d’ordre<br />

1 ; c’est <strong>de</strong> cette façon que l’on obtient la condition <strong>de</strong> stabilité annoncée dans le paragraphe précé<strong>de</strong>nt car on<br />

montre que les petits mouvements existent si l’on a : 27ν(1 − ν) < 1 d’où l’on tire : m 0<br />

m 1<br />

> (25 + √ 621)/2.<br />

•Sommaire •In<strong>de</strong>x •Page d’accueil •Précé<strong>de</strong>nte •Suivante •Retour •Retour Doc •Plein écran •Fermer •Quitter

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!