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Cours de Mécanique céleste classique

vers le cours de Mécanique Céleste - LEMM

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⊙ ⊕ ∅<br />

Copyright ( c○ LDL) 2002, L. Duriez - <strong>Cours</strong> <strong>de</strong> <strong>Mécanique</strong> <strong>céleste</strong> • Partie 6 • section 24.3.1 • Page 320 <strong>de</strong> 396<br />

comprise entre les courbes C i et C e ; le point singulier <strong>de</strong> la frontière <strong>de</strong> cette zone est le point <strong>de</strong> Lagrange L 2 .<br />

Pour C (2)<br />

1 < C 1 < C (1)<br />

1 on aurait <strong>de</strong>s courbes intermédiaires entre celles <strong>de</strong>s Figures C et D (on peut en voir<br />

quelques unes sur la Figure A) : Si P 2 est l’intérieur <strong>de</strong> la courbe interne, il reste indéfiniment dans le voisinage<br />

<strong>de</strong> P 0 et <strong>de</strong> P 1 , pouvant passer librement du voisinage <strong>de</strong> P 0 à celui <strong>de</strong> P 1 mais sans pouvoir s’éloigner à l’infini ;<br />

au contraire, si P 2 est à l’extérieur <strong>de</strong> la courbe externe, il ne peut jamais s’approcher très près <strong>de</strong> P 0 et <strong>de</strong> P 1<br />

mais peut s’échapper à l’infini.<br />

Pour C 1 = C (3)<br />

1 (= 1, 5947891 pour ν = 0, 1), P 2 ne peut jamais se trouver dans la zone <strong>de</strong> la Figure<br />

E contenant les points L 4 et L 5 ; le point singulier <strong>de</strong> la frontière <strong>de</strong> cette zone est le point <strong>de</strong> Lagrange L 3 .<br />

Pour C (3)<br />

1 < C 1 < C (2)<br />

1 on aurait <strong>de</strong>s courbes intermédiaires entre celles <strong>de</strong>s Figures D et E (cf. Figure A) ;<br />

la zone interne proche <strong>de</strong> P 0 et P 1 est maintenant ouverte sur la zone externe et donc P 2 a la possibilité d’être<br />

très proche <strong>de</strong> P 0 ou <strong>de</strong> P 1 à un certain instant, puis <strong>de</strong> s’en éloigner jusqu’à l’infini. Pour terminer, si l’on a<br />

1, 5 < C 1 < C (3)<br />

1 , P 2 peut parcourir tout le plan sauf <strong>de</strong>s voisinages <strong>de</strong> L 4 et <strong>de</strong> L 5 qui ten<strong>de</strong>nt vers ces points<br />

lorsque C 1 tend vers 1, 5 et enfin, pour C 1 ≤ 1, 5 l’ensemble du plan est accesssible à P 2 .<br />

24.3. Traitement du problème <strong>de</strong>s 3 corps par <strong>de</strong>s problèmes <strong>de</strong> Kepler perturbés<br />

Les équations (6.16) à (6.18) montrent que les accélérations relatives <strong>de</strong> P 1 et P 2 par rapport à P 0 , ou <strong>de</strong> P 2<br />

par rapport à P 1 , sont toujours la somme d’une accélération képlérienne et <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux autres termes non képlériens.<br />

Il suffit donc que ces autres termes soient petits par rapport au premier pour que ces mouvements relatifs soient<br />

représentables par <strong>de</strong>s mouvements képlériens perturbés. Il existe au moins <strong>de</strong>ux situations où ces termes non<br />

képlériens peuvent être considérés comme <strong>de</strong>s perturbations ; réalisons ces situations avec <strong>de</strong>s corps du système<br />

solaire :<br />

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