Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - Index of - Free

GAS 61 8 69
IRL 33 12 12 2 3 9 71
LIM 38 1 1 40
MDL 117 39 16 26 25 11 234
NOR 98 13 25 21 12 28 197
NRD 52 4 9 5 15 5 90
POI 48 1 1 28 78
SOU 146 27 30 26 39 11 279
VEX 12 2 5 6 7 32
WAL 51 10 13 21 7 3 105
Total 819 109 108 109 109 140 1394
Le traitement de ces données peut alors être effectuée au moyen deux analyses :
l’analyse factorielle des correspondances (AFC) qui traite deux variables et l’analyse de
correspondances multiples (ACM ou plus rarement AFCM) qui permet de traiter
plusieurs variables. Ces deux analyses procèdent de la même technique mathématique,
mais l’ACM qui projette dans un espace multidimensionnel des corrélations entre des
variables, est généralement la plus utilisée en histoire 228 . Ainsi, l’ACM, qui permet
d'étudier des données sous la forme d'un tableau d'individus décrits par plusieurs
variables qualitatives, est adaptée à l'analyse des données des tables SITES et AGENTS
car les lignes du tableau sont des sites (individuels) et les colonnes sont des modalités
de réponse à des questions 229 .
Les logiciels permettant d’effectuer ces opérations sont multiples. Le logiciel R,
qui est un logiciel libre est le plus fréquemment utilisé, bien que ses résultats graphiques
ne soient pas vraiment satisfaisants. Pour cette raison, les résultats de l’analyse ont été
retravaillés avec la macro sous Excel d’Olivier Godechot, qui offre une grande
souplesse pour le travail graphique des données 230 . Quant à l’exécution des ACF, la
macro sous Excel mise au point par Alain Dallo a également été choisie pour sa
228 LEMERCIER, C. et ZALC, C., Méthodes quantitatives pour l'historien, 2007, p. 60 : l’analyse des
correspondances multiples (ACM) est celle qui serait la plus « utile » en histoire parce qu’elle permet
« de traiter des données individuelles qualitatives et quantitatives regroupées en classes ».
229 http://www.xlstat.com/fr/features/t18.htm.
230 Olivier Godechot est sociologue, chargé de recherche CNRS au Centre Maurice Halbwachs et au
Laboratoire de Sociologie Quantitative. Il travaille sur les rémunérations dans l’industrie financière et sur
les réseaux et le recrutement dans le monde académique. Il a publié en 2004 avec Nicolas Mariot « Les
deux formes du capital social. Structure relationnelle des jurys de thèses et recrutement en science
politique », dans la Revue Française de Sociologie (http://olivier.godechot.free.fr/;
http://www.laviedesidees.fr/_Godechot-Olivier_.html). Cette macro m’a été conseillée par Frédéric Saly-
Giocanti, PRAG à l’Université de Paris, en charge des enseignements de statistiques et d’informatique, et
membre du PIREH. Je le remercie chaleureusement pour son aide précieuse dans l’exploitation de mes
données.
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