UNESCO. General Conference; 30th; Records ... - unesdoc - Unesco

will go to the Legal Committee and to the forthcoming General Conference for adoption. Perhaps this has not
been said explicitly enough but that was the full understanding to emerge from the debate that we had in
Commission I, and I endorse it along with my colleagues from Saint Lucia and Turkey. Thank you, Madam
President.
80. The PRESIDENT:
I thank the representative of Germany. We appreciate your clarification of the procedure followed in
Commission I and also your support for the proposal that the matter should be forwarded to the Executive Board.
I now give the floor to the representative of Chile, to be followed by Argentina.
81. Sr. LAVADOS (Chile):
Sra. Presidenta: En nombre de Chile, desearía apoyar la propuesta que hizo Santa Lucía, apoyada luego
por Turquía y Alemania, de plantear este asunto al Consejo Ejecutivo. Me parece que hay tres cuestiones que no
hay que confundir. Una de índole política: la necesidad de reforzar las Comisiones Nacionales para la UNESCO.
Otra de carácter jurídico: se nos ha dicho que al parecer el texto de los Estatutos que se ha preparado no es el
adecuado. Pero hay también una cuestión de procedimiento: como otros, me encuentro extrañado de que este
asunto no haya pasado antes por el Consejo Ejecutivo y se haya planteado directamente a la Conferencia. Por esa
razón me permito apoyar incluso el calendario completo que Alemania nos ha entregado para el tratamiento de
esta cuestión. Gracias.
(81) M. LAVADOS (Chili) (traduit de l'espagnol) :
Madame la Présidente, au nom de la délégation du Chili, je souhaiterais souscrire à la proposition de
Sainte-Lucie, appuyée ensuite par la Turquie et l'Allemagne, visant à soumettre cette question au Conseil exécutif.
Il y a à mon avis trois questions à ne pas confondre. L'une, de caractère politique, qui est la nécessité de renforcer
les commissions nationales pour l'UNESCO, l'autre de caractère juridique : on nous a dit qu'apparemment, le texte
des Statuts qui a été élaboré n'est pas satisfaisant. Mais il y a aussi une question de procédure : comme d'autres
intervenants, je m'étonne de ce que cette question n'ait pas été soumise auparavant au Conseil exécutif et qu'elle ait
été présentée directement à la Conférence générale. C'est pourquoi je me permets d'approuver aussi l'ensemble du
calendrier que l'Allemagne nous a fourni pour le traitement de cette question. Je vous remercie.
82. The PRESIDENT:
I thank the representative of Chile, for his confirmation. I now give the floor to the representative of
Argentina, followed by that of Slovenia.
83. Sr. GONZÁLEZ (Argentina):
Gracias, señora Presidenta: Deseo señalar dos puntos. En primer lugar, quisiéramos apoyar la propuesta
de Santa Lucía, en cuyo apoyo se han manifestado Turquía, Alemania y Chile, exactamente por los mismos
motivos que han aducido todos estos intervinientes. El segundo punto que nos parece importante recordar en este
debate es el siguiente: la Carta de las Comisiones Nacionales para la UNESCO ya otorga a las Comisiones
Nacionales la posibilidad de cooperar entre ellas con la asistencia de la Secretaría de la UNESCO y, por
supuesto, del Director General. Es decir, según dispone ya el Artículo 5 de la Carta de las Comisiones
Nacionales, el Director General tiene incluso la responsabilidad de fomentar esta cooperación. Por consiguiente,
es inexacto sostener que una eventual suspensión de los Estatutos equivaldría a dificultar o bloquear el proceso
de cooperación entre las Comisiones Nacionales. En virtud de la Carta de las Comisiones Nacionales, éstas ya
pueden colaborar entre ellas. Lo que aquí estamos haciendo es simplemente asegurarnos -y compartimos
totalmente la opinión de que es imprescindible que el Consejo Ejecutivo de la UNESCO participe también en el
proceso- aseguramos, repito, de que el proyecto de Estatutos por los cuales se instrumenta esta cooperación sea
adecuado y esté elaborado correctamente. Gracias, señora Presidenta.
(83) M. GONZÁLEZ (Argentine) (traduit de l'espagnol) :
Merci, Madame la Présidente. Je souhaiterais signaler deux points. Premièrement, nous voudrions
appuyer la proposition de Sainte-Lucie, à laquelle adhèrent également la Turquie, l'Allemagne et le Chili,
exactement pour les mêmes motifs que ceux qui ont été exposés par tous ces intervenants. Deuxièmement, il nous
paraît important de rappeler dans ce débat que la Charte des commissions nationales pour l'UNESCO prévoit déjà
pour les commissions nationales la possibilité de coopérer entre elles avec l'assistance du Secrétariat de l'UNESCO
et, par conséquent, du Directeur général. Autrement dit, en vertu des dispositions de l'article 5 de la Charte des
commissions nationales, le Directeur général assume même la responsabilité d'encourager cette coopération. Par
conséquent, il est inexact d'affirmer qu'une éventuelle suspension des Statuts équivaudrait à entraver, voire bloquer,
le processus de coopération entre les commissions nationales. En vertu de leur Charte, ces dernières peuvent d'ores
et déjà collaborer entre elles. Nous ne faisons ici que nous assurer que le projet de Statuts qui détermine les
modalités de cette coopération est approprié et élaboré correctement, et nous partageons entièrement l'opinion de
ceux qui pensent qu'il est indispensable que le Conseil exécutif de l'UNESCO soit lui aussi associé au processus. Je
vous remercie, Madame la Présidente.
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