La nouvelle de langue française, aux frontières des ... - L'esprit Livre

MICHEL GUISSARD 243
12 «␣ La veuve␣ », p.␣ 262-263.
13 «␣ Fêtes␣ », p.␣ 96.
14 «␣ Peut-être␣ », p.␣ 137.
15 «␣ La soirée des Bergman␣ », p.␣ 176. On pourrait également signaler une homologie de structure entre
certaines nouvelles. Ainsi, entre «␣ Il faut se méfier des morts␣ » et «␣ La soirée des Bergman␣ », c’est un
double récit qui est fait, réuni par une parole sanctifiée, ou un oracle.
16 «␣ Bénédiction␣ », p.␣ 348.
17 François Ricard n’a pas perçu, au-delà des déclarations de principe ou des liaisons thématiques,
l’unité fondamentale des ensembles-de-nouvelles d’Arland (cf. «␣ Le recueil␣ », Études françaises, n°␣ 12,
avril␣ 1976, p.␣ 113-133 [en particulier p.␣ 130-131]).
Pour sa part, Michel Viegnes, qui répartit les recueils de nouvelles du XXe␣ siècle en quatre catégories,
en fonction du mode d’unification qui les régit (unité thématique, unité d’atmosphère, unité structurale,
unité de projet littéraire), ne prend pas en compte des recueils qui cumulent ces modes (cf.
L’esthétique de la nouvelle française au vingtième siècle, New York, Bern, Frankfurt am Main, Paris : Peter
Lang, 1989, p.␣ 53-57).
18 «␣ La voix␣ », Le grand pardon, p.␣ 407-408.
19 En anticipant sur ce qui va suivre, il nous faut remarquer que dans La consolation du voyageur, écrit
considéré comme autobiographique, Arland relate, aussi à la fin de l’ouvrage, un des épisodes de
«␣ Mort d’une vieille femme␣ ».
20 Cf. J.-J.␣ DIDIER, «␣ Éthique et esthétique de la mort dans l’œuvre de Marcel Arland␣ », Le langage et
l’homme, vol. 21, mai␣ 1986, p.␣ 136-143.
21 La dernière lettre est adressée à la solitude. La nuit et les sources. Précédé de Je vous écris…, Paris :
Gallimard, 1968 (première parution de La nuit et les sources en 1963 chez Grasset).
22 Ibid., p.␣ 433.
23 Ibid
24 Ibid., p.␣ 435.
25 Ibid., p.␣ 433.
26 «␣ Est-ce l’aube ?␣ », p.␣ 343-382. Dans ce texte final, l’auteur rompt avec la fiction et parle en son nom
propre ; il fait entre autres allusion à son amitié pour Jean Paulhan.
27 «␣ Est-ce l’aube ?␣ », p.␣ 364.
28 Ibid.
29 M. ARLAND, Attendez l’aube, «␣ Que nous étions jeunes !␣ », p.␣ 129 (c’est l’auteur qui, soulignant, attire
l’attention sur ce prénom dont on ne découvrira l’importance qu’à la fin du recueil).
30 Ibid., p.␣ 148.
31 Ibid.
32 La consolation du voyageur, p.␣ 22.
33 Attendez l’aube, «␣ Ce long jour…␣ », p.␣ 68.
34 «␣ La nuit des amants␣ », Le grand pardon, p.␣ 459-460 et 462.
35 «␣ Élysée␣ », Le grand pardon, p.␣ 559-561.
36 «␣ Le cirque␣ », Le grand pardon, p.␣ 297.
37 Le grand pardon, «␣ Le reposoir␣ », p.␣ 398.
38 Antarès, Paris : Gallimard, 1932, p.␣ 143.
39 Guide d’un petit voyage en Suisse, in «␣ Si l’on ne tient pas compte␣ », Œuvres complètes, tome␣ I, Cercle
du Livre précieux, 1966, p.␣ 244.
40 L’envers et l’endroit, in A.␣ CAMUS, Essais, édition établie et annotée par R.␣ QUILLIOT et L.␣ FAUCON,
introduction par R.␣ QUILLIOT, Paris : Gallimard (Bibliothèque de la Pléiade ; 183), 1965, p.␣ 13. Dans
Théâtre, récits, nouvelles, Camus tient des propos assez semblables concernant l’œuvre de Melville :
«␣ Il me semble pouvoir dire […] que Melville n’a jamais écrit que le même livre indéfiniment recommencé␣
» (Paris : Gallimard (Bibliothèque de la Pléiade ; 161), 1985 (1965), p.␣ 1908). Et plus
généralement, il pense qu’«␣ aucun artiste n’a jamais exprimé plus d’une seule chose sous des visages
différents␣ » (Essais, p.␣ 175).
41 M. KUNDERA, L’art du roman, Paris : Gallimard, p.␣ 165-166.
42 Nous empruntons cette terminologie à Joëlle BATT, «␣ À la recherche de la voix de son texte␣ », Cahiers
du G.R.A.A.T. : Effets de voix, n°␣ 12, 1994, p.␣ 17-27.