La nouvelle de langue française, aux frontières des ... - L'esprit Livre

ALAIN CULLIÈRE 75
[36] (Pauli-Guicciardini), [37]-[62] (Pauli), [63] (X), [64]-[82] (Pauli), [83] (Pauli-Corrozet), [84]-[85]
(Pauli-Bebel), [86]-[88] (Bebel), [89] (Pauli-Bebel), [90] (Pauli), [91]-[96] (Bonaventure Des Périers),
[97] (X), [98] (Bonaventure Des Périers), [99]-[103] (Corrozet), [104] (Bebel), [105]-[109] (Guicciardini),
[110] (X, variante de [36]), [111]-[120] (Guicciardini), [121] (Guicciardini-Corrozet), [122]-[127]
(Guicciardini), [128] (X), [129] (Pauli), [130] (X), [131]-[135] (Bonaventure Des Périers), [136]-[140]
(Corrozet), [141] (Pauli-Corrozet), [142] (X), [143]-[148] (Guicciardini), [149]-[150] (X), [151]-[152]
(Bonaventure Des Périers), [153]-[154] (X), [155] (Pauli), [156] (Bonaventure Des Périers), [157] (Pauli-
Guicciardini).
18 À titre d’exemple, il est intéressant de voir comment les mignardises du début et de la fin de la
nouvelle 45 de Des Périers (éd. Jourda, p.␣ 468-470) ont été évacuées dans le Recueil de Tyron (p.␣ 100-
102).
19 Éd. Jourda, p.␣ 433-436 ; Recueil, 1578, [92]-[93], p.␣ 94-99. La transition entre les récits [92] et [93]
s’opère par cette dernière phrase du récit [92] : «␣ […] car Monsieur tomba derechef en un autre
accident, ainsi que vous orrez au traité suivant␣ » (p.␣ 96).
20 Éd. Jourda, p.␣ 545-546 ; Recueil, 1578, nouvelles [68], p.␣ 64-68 et [98], p.␣ 104-106.
21 Éd. Jourda, p.␣ 551-552 ; Recueil, 1578, nouvelle [96], p.␣ 102-103.
22 Éd. Jourda, p.␣ 370-372 ; Recueil, 1578, nouvelle [152], p.␣ 157-159.
23 Éd. Jourda, p.␣ 414-416 ; Recueil, 1578, nouvelle [132], p.␣ 126-128.
24 Éd. Jourda, p.␣ 483 ; Recueil, 1578, nouvelle [95], p.␣ 102.
25 Recueil, 1578, nouvelle [108], p.␣ 113. Et quand Guicciardini parle du roi de France et des lourds
impôts qu’il fait lever (nouvelle [118], p.␣ 119), Belleforest, le traducteur français de Guicciardini,
parlera simplement d’un roi, sans indication de nationalité. On voit bien que le «␣ recadrage␣ » dont
on parle est une opération aussi prudente que nécessaire et qu’elle s’exerce à toutes les étapes de
l’histoire d’un texte.
26 Éd. Jourda, nouvelle 2, p.␣ 370-371 ; Recueil, 1578, nouvelle [152], p.␣ 157-159.
27 Éd. Jourda, p.␣ 433 ; Recueil, 1578, nouvelle [92], p.␣ 94.
28 Éd. Jourda, p.␣ 423 ; Recueil, 1578, nouvelle [134], p.␣ 130.
29 Éd. Jourda, nouvelle 13, p.␣ 398 ; Recueil, 1578, nouvelle [151], p.␣ 151. Il s’agit de la vaste forêt de
Mormal, au sud-ouest de Valenciennes, à quelques kilomètres de l’actuelle frontière belge.
30 Bebel, III, 138 ; Recueil, 1578, nouvelle [87], p.␣ 85-87.
31 On peut songer aux Facétieux devis des cent et six nouvelles nouvelles de La Motte Roulant (Paris :
Guillaume Le Bret, 1549 ; Jean Longis, 1550), qui reprennent la quasi-totalité du recueil bourguignon,
ou bien encore au Recueil des plaisantes et facétieuses nouvelles recueillies de plusieurs auteurs
(Lyon : Eustache Barricat, 1555 ; Anvers : Gérard Spelman, 1555), qui reprend la quasi-totalité du
recueil de La Motte Roulant.
32 Du moins dans les éditions parisiennes et lyonnaises à partir de 1569. Voir Robert BRUN, Le livre
français illustré de la Renaissance, Paris : Picard, 1969, p.␣ 137.
33 Dans son édition de Pauli, J.␣ BOLTE en reproduit quelques-unes, p.␣ *30-*32.
34 Recueil, 1578, nouvelle [77], p.␣ 76.
35 Nouvelle [123], p.␣ 121.