La nouvelle de langue française, aux frontières des ... - L'esprit Livre

CHRISTINE MASUY 425
la RTBF. Cf. Dorothée TROMPARENT, «␣ (À suivre…)␣ », p.␣ 26. (Pour les références complètes, voir la
bibliographie en fin d’article.)
6 Jean-Luc OUTERS, «␣ Écriture et radio␣ », p.␣ 18-19.
7 Un comédien engagé pour la journée (dont coût 7 000␣ francs belges) enregistre généralement quatre
nouvelles.
8 Cf. Florence GOYET, La nouvelle. 1870-1925 ; Daniel GROJNOWSKI, Lire la nouvelle ; Marc LITS, «␣ La
nouvelle entre réel et fiction␣ ».
9 Réal BARNABÉ (dir.), Guide de rédaction. Les nouvelles radio et l’écriture radiophonique, p. ?
10 Ibid., p.␣ 15.
11 Marshall MAC LUHAN, Pour comprendre les médias. «␣ Des profondeurs subliminales de la radio surgit
l’écho résonant des trompes tribales et des tam-tam antiques␣ » (p.␣ 323).
12 «␣ Nouvelle et frustration␣ », in Vincent ENGEL (dir.), Le genre de la nouvelle dans le monde francophone
au tournant du XXIe␣ siècle.
13 Réal BARNABÉ (dir.), Guide de rédaction. Les nouvelles radio et l’écriture radiophonique.
14 Jean-Marc CHARDON et Olivier SAMAIN, Le journaliste de radio.
15 Guy ROBERT, Ils racontent l’Histoire.
16 Cf. à ce sujet Gérard DEREZE, Une ethnosociologie des objets domestico-médiatiques. Médias, quotidien et
troisième âge, p.␣ 130-137.
17 Guillaume MONSAINGEON, «␣ Préface␣ » à Carlo Emilio GADDA, L’art d’écrire pour la radio, p.␣ 11-12.
18 Ibid., p.␣ 48 et␣ 58.
19 Cf. Frédéric ANTOINE (dir.), Écrire au quotidien. Du communiqué de presse au nouveau reportage ; Réal
BARNABÉ (dir.), Guide de rédaction. Les nouvelles radio et l’écriture radiophonique ; Jacques LARUE-LAN-
GLOIS, Manuel de journalisme radio-télé ; Jean-Luc MARTIN-LAGARDETTE, Les secrets de l’écriture journalistique.
Informer, convaincre.
20 Jean-Marc CHARDON et Olivier SAMAIN, Le journaliste de radio, p.␣ 31.
21 Daniel GROJNOWSKI, Lire la nouvelle, p.␣ 47.
22 Cf. Michel-Antoine BURNIER et Patrick RAMBAUD, Le journalisme sans peine.
23 Guy ROBERT, Ils racontent l’Histoire, p.␣ 77-78.
24 Le passé simple, par exemple. De manière générale, la radio présentifie largement ce qu’elle énonce.
D’abord, sans doute, parce que l’indicatif présent est le temps que l’on utilise le plus naturellement
dans la langue parlée. Mais aussi parce que la radio a été – bien avant le direct télévisuel – et est
toujours le média de l’instantané. Elle a donc, presque intrinsèquement, cette tendance à tout ramener
au seul présent, donnant ainsi l’illusion à son auditeur d’être en prise direct sur le réel.
25 Roger CLAUSSE, La radio. Huitième art, p.␣ 71 et␣ 51-52.