les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

Les deux jeunes filles lettrées
Cochon (mon petit), expression familière pour dire : « mon petit garçon ». p.
348, note 2.
Cognée (prendre ou tenir le manche de la) ; au figuré. Allusion à une ode du
Livre des vers. p. 638, note 4, et p. 642, note 1. p.663
Collet bleu (un), un bachelier. p. 564, note 5.
Condor, nom d’un oiseau de taille gigantesque ; au figuré. p. 213, note 1.
Coquille (vouloir mesurer la mer avec une) ; au figuré. p. 497.
Coqs (être le premier des) ; au figuré. p. 204, note 1.
Coupe nuptiale (préparer la). p. 645, note 1.
Cuivre (deux colonnes de). Allusion historique. p. 252, note 1.
Danseurs (huit groupes de). p. 51, note 1.
Dragon, animal fabuleux. p. 103, note 3. au figuré. p. 287, note 1 ; p. 582,
note 1.
Dragon (la table du), la table de l’empereur. p. 20, ligne 9 ; p. 103, note 3.
Dragon (la figure du), la figure de l’empereur. p. 607, note 1.
Dragon (le vol du) et la danse des serpents. Les Chinois appliquent cette
locution à des caractères tracés avec grâce et légèreté. p. 609, note 1.
Dragon-cheval (la perle ou le diamant du). p. 517, note 4.
Dragons (la liste des tigres et des) ; au figuré. p. 582, note 1.
Drapeau (tenir le) et le tambour ; au figuré. p. 318, note 1.
Écritoire (les quatre trésors de l’). p. 52, note 1 ; p. 64, note 1 ; p. 96, note 1 ;
p. 179, note 1.
Entremetteuse (une) de mariage. Cette expression se prend en bonne part ; il
en est de même du mot entremetteur. p. 156, note 1 ; p. 638, note 4 ;
p. 644, lignes 3 et 4.
Épine, qui sert d’aiguille de tête. Cette express ion désigne p.664 une femme
pauvre. Allusion historique. p. 244, note 2.
Étang du phénix (l’) ; au figuré. p. 487, note 1 ; p. 522, note 3,
Examen (l’) du palais. p. 633, note 1.
Examen (l’) provincial. p. 583, note 1.
Examens (les trois). p. 583, note 2.
Fard (le) et la céruse. p. 511, note 1.
Filet (entr’ouvrir un côté du) ; au figuré. p. 204, note 3.
Fleuve céleste (le) ; la voie lactée. p. 120, note 1.
Fouet (prendre son) ; au figuré. p. 226, note 1.
Frère aîné (mon) ; expression polie qu’on adresse à l’homme à qui l’on parle. p.
315.
Frère cadet (votre) ; expression modeste par laquelle on se désigne soi- même
en parlant à un autre homme. p. 315. ligne 8.
Froid (parler du) et du chaud ; au figuré. p. 283, note 1.
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