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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

397 C’est évidemment ainsi qu’il faut traduire, quoiqu’il y ait seulement en<br />

chinois : hing-li (des bagages).<br />

398 Pé-thong vantait un jour son mérite et se proclamait l’homme le plus<br />

éminent de tout l’empire. Quelqu’un lui dit : « Il y avait jadis, dans le Liao-<br />

tong, une truie qui mit bas des petits dont la tête était blanche. Elle <strong>les</strong> admira<br />

et voulut <strong>les</strong> faire présenter à l’empereur. Mais ayant été dans le pays de Ho-<br />

tong, elle vit que tous <strong>les</strong> pourceaux étaient blancs. Elle en fut honteuse et<br />

s’en retourna. Si l’on examine votre mérite en présence de Sa Majesté, vous<br />

ressemblerez aux pourceaux blancs du Liao-tong. » — C’est-à-dire : on<br />

reconnaîtra que vous ressemblez aux autres hommes, que vous n’avez qu’un<br />

mérite ordinaire. (Yun-fou-kiun-yu, liv. IX, fol.16.)<br />

399 Littéralement : dans la bouche, nous avons une langue de trois pouces.<br />

400 Thsouï-hao vivait sous la dynastie des Thang. Il mourut dans la treizième<br />

année de la période Thien-p’ao (755). Khieou-thang-chi, liv. 193 B, fol. 3.<br />

401 Ce pavillon était situé à l’angle sud-ouest de la ville de Ou-tchang-fou. La<br />

tradition rapporte que Feï-wên-weï ayant été élevé au rang des immortels,<br />

monta au ciel sur une cigogne jaune. A son retour, il se reposa dans ce<br />

pavillon. (Peï-wen-yun-fou, liv. XCIX, fol. 146.) L’encyclopédie Youen-kien-<br />

louï-han nous a conservé (liv. CCCXLIII, fol. 19) cette célèbre pièce de vers.<br />

402 C’est-à-dire : de renoncer à faire des vers.<br />

403 Littéralement : l’aîné ou le cadet.<br />

404 Littéralement : quoique je vous le cède d’une fiche.<br />

405 Littéralement : cette petite tête fourchue (expression de mépris qui désigne<br />

ordinairement une servante).<br />

406 Il y a en chinois : elle écrit (en faisant) cha-cha-cha, sorte d’onomatopée<br />

intraduisible, qui est destinée à figurer à la fois le bruit que font <strong>les</strong> vers à soie<br />

en mangeant <strong>les</strong> feuil<strong>les</strong> et le pinceau en courant sur le papier.<br />

407 J’ignore la correspondance française de ce nom. Chou-tchaï signifie un<br />

cabinet d’étude ; peut-être qu’ici tchaï-fou veut dire un expéditionnaire attaché<br />

au bureau des concours.<br />

408 Même nom que Tchang-în.<br />

409 Je n’ai pu conserver, dans le texte, l’origine de ce c hangement. Voici le<br />

passage entier : Yên-pé-hân, d’après le nom de famille de sa mère, changea<br />

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