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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

175 L’auteur veut dire qu’un jeune homme qui n’est point le vrai Ssé- ma-siang-<br />

jou, montre un tel talent qu’on croirait que c’est Ssé-ma-siang-jou lui- même<br />

qui serait revenu au monde.<br />

176 Li-thaï-pé et Thou, surnommé Tseu-meï, plus connu sous le nom de Thou-<br />

fou, sont <strong>les</strong> plus célèbres poètes de la <strong>Chine</strong>.<br />

177 Littéralement : c’était sa vie, c’est-à-dire, qu’elle ne pouvait s’en détacher.<br />

178 Littéralement : il a renversé et écrasé.<br />

179 C’est-à-dire : <strong>les</strong> maisons des courtisanes.<br />

180 C’est-à-dire : pour composer des vers avec elle.<br />

181 Il y a en chinois hiên-khîn (offrir l’herbe khîn). C’est une locution familière<br />

qui signifie : offrir quelque chose de médiocre, faute de mieux, pour témoigner<br />

son respect. La politesse chinoise, toujours poussée à l’excès, veut qu’on<br />

s’exprime ainsi, même lorsqu’on offre un repas excellent.<br />

182 Wang-weï, qui vivait sous la dynastie des Thang, avait une campagne<br />

charmante dans le pays de Wang-tch’ouén. Des poètes renommés aimaient à<br />

s’y promener, et mettaient leur plaisir à y composer ensemb le des vers.<br />

(Anna<strong>les</strong> des Thang, biographie de Wang-weï.)<br />

183 En chinois Kin-hou. C’était le nom d’un jardin célèbre appartenant à Chi-<br />

tsong, qui vivait sous <strong>les</strong> Tsîn. Il était situé dans le district de Ho-nân-hiên.<br />

C’était le rendez-vous des lettrés éminents et des magistrats <strong>les</strong> plus<br />

distingués.<br />

184 Cette expression désigne le dieu suprême de la secte des Tao-ssé. Chang<br />

(en haut) désigne le ciel, hia (en bas) se rapporte à la terre, qui est le séjour<br />

des hommes.<br />

185 Littéralement : votre laideur.<br />

186 Suivant <strong>les</strong> poètes chinois, <strong>les</strong> bords de ce lac étaient habités par <strong>les</strong> dieux.<br />

187 Le papier, le pinceau, l’encre et la pierre pour la broyer.<br />

188 C’est-à-dire : et par le charme de ces occupations littéraires, nous<br />

montrerons combien un jour entier paraît court.<br />

189 Tsao-tseu-kién était un poète célèbre qui vivait sous l’empereur Wén-ti, de<br />

la dynastie des Weï (entre <strong>les</strong> années 220-227 de J.-C.). A l’âge de dix ans, il<br />

savait déjà composer en prose. On l’avait surnommé Sieou-hou, le tigre (le<br />

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