les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

Les deux jeunes filles lettrées
575 Il s’agit de la pièce de vers de Chân-taï, qu’il avait envoyée à Song-sîn pour
qu’il lui en fit une sur les mêmes rimes. Voyez p. 546.
576 C’étaient ceux qu’avait composés Ling-kiang-sioué pour se moquer de
Tchang-în. Voyez p. 551.
577 Savoir dans la chambre de Ling-kiang-sioué.
578 Voyez plus haut, p. 434, ligne 8.
579 C’est-à-dire : si vous voulez épouser une jeune fille belle comme Yun-ing.
Voyez plus haut, p. 409, note 1.
580 C’est-à-dire : il faut que l’empereur vous aide et favorise. Voyez p. 113,
note 1.
581 C’est-à-dire : de la maison de la jeune fille que nous voulons épouser.
Voyez plus haut, p. 409, note 1.
582 Littéralement : peut-être que nous trouverons le chemin d’un fil de soie.
Voyez plus haut, p. 433, note 1.
583 C’est-à-dire : que mademoiselle Chân, dont vous voulez demander la main,
n’ait déjà choisi un autre époux. Voyez plus haut, p. 409, note 1.
584 Il y a dans le texte : L’époque de la courge. C’est une expression délicate
pour dire l’époque où une jeune fille cesse d’être vierge. En chinois,
l’expression p’o-koua, rompre la courge, signifie ôter la virginité (Well’s
William).
585 C’est-à-dire : un époux accompli. Voyez plus haut, p. 409, note 1.
586 Sorte de secrétaire d’un magistrat.
587 Nom d’un général qui, ayant été battu par les troupes des Hân, n’osa
revenir dans son pays natal, où il avait auparavant traversé le fleuve Kiang à
la tête de 8.000 braves.
588 C’est-à-dire : comment pourrions-nous disputer la palme du talent à Chân-
taï, qui a déjà vaincu les plus illustres lettrés ?
Lieou-pang fonda l’empire des Hân, et monta sur le trône sous le nom de Kao-
ti. (Voyez Mailla, Histoire de la Chine, t. II, p. 414-483.) Il y a en chinois :
enlever le cerf de Thsîn. Les historiens chinois, en parlant des guerres qui
eurent lieu à cette époque orageuse, ont comparé les guerriers qui se
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