les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

136 Dans l’at mosphère.
Les deux jeunes filles lettrées
137 C’est ainsi que les poètes chinois appellent la voie lactée. Kiang et Hân sont
deux noms de fleuves.
138 Noms des deux principes, le principe femelle et le principe mâle, qui sont
censés avoir produit le monde et tous les êtres.
139 C’est-à-dire au palais, à l’empereur.
140 Cette expression désigne une autre espèce de faisan.
141 C’est-à-dire l’empereur.
142 Pân-ki était une femme lettrée qui jouissait de toute la faveur de
l’empereur Hiao-tching, lequel monta sur le trône l’an 32 avant J.-C.
143 Sie-niu, dit un poète, chantait avec grâce. Elle aimait à célébrer, dans ses
vers, la mer et les montagnes, les étoiles et la lune. (Peï-wén-yun-fou, liv.
XXXVI, fol. 92.)
144 Le ciel, la terre et l’homme.
145 Wang-po, surnommé Tseu-’an, vivait sous la dynastie des Thang. On disait
de lui que les pièces qu’il improvisait étaient composées d’avance dans son
esprit. Un gouverneur qui donnait un banquet dans le pavillon du prince de
Teng, l’avait prié de composer une pièce de vers où il ferait l’éloge des
convives. Il s’en acquitta si rapidement qu’il excita l’admiration générale. Ce
morceau célèbre se trouve dans l’encyclopédie Youên-kiên-louï-hân, liv.
CCCXLVII, fol. 35. Voyez Ibid., fol. 33.
146 C’est-à-dire de renoncer à composer.
147 Elle dure de onze heures à une heure.
148 De une heure à trois.
149 C’est-à-dire couraient avec la rapidité du vent.
150 Elle dure de une heure à trois.
151 C’est-à-dire brille de plus en plus.
152 C’est-à-dire Hoeï, roi de Liang.
153 Les mots soulignés sont le commencement des sept chapitres de Meng-
tseu.— I. Liang-hoeï-wang.— II. Kong-seun-tchéou.— III. Teng-wén, pour
Teng-wén-kong. — IV. Li-léou. Mais les mots Tsîn-sîn (ch. VII), dont le sens
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