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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

76 Dans l’antiquité, l’empereur s’appelait humblement Yu-i-jin, moi, qui ne suis<br />

qu’un homme (ordinaire).<br />

77 Le livre des vers, qui est, comme le suivant, l’un des cinq livres canoniques.<br />

78 Le livre des anna<strong>les</strong> impéria<strong>les</strong>.<br />

79 Cette citation n’est pas tout à fait exacte. Ce ne fut point elle, mais sa mère<br />

qui vit en songe le dieu dont il s’agit. Avec cette balance, lui dit -il, votre fille<br />

pèsera <strong>les</strong> talents de tout l’empire. Un Jour, comme Wân-ell avait déjà plus<br />

d’un mois, sa mère lui dit en badinant : Est-ce toi qui pèseras (<strong>les</strong> talents)<br />

avec une balance ? L’enfant lui répondit par un sourire. (Peï-wén-yun-fou, liv.<br />

IV, fol. 62.)<br />

80 Ce passage et le suivant doivent être pris au figuré. Ils signifient que Chân-<br />

taï fera sortir de son encrier et laissera tomber de son pinceau des vers qui<br />

produiront des effets terrib<strong>les</strong>. Le poisson de la mer du Nord est un animal<br />

fabuleux dont parle le philosophe Tchoang-tseu, et qui a des proportions<br />

gigantesques. Sa longueur est de plusieurs centaines de lieues. Il se<br />

transforme en un oiseau d’une taille tellement prodigieuse, que ses aises<br />

déployées ressemblent à un nuage qui s’étendrait jusqu’aux bornes du ciel.<br />

81 Suivant l’historien Ssé- ma-thsien, ce fut avec du poil des lièvres du mont<br />

Tchong-chân que Mong-tién fabriqua <strong>les</strong> pinceaux dont l’invention lui est<br />

attribuée. Ce passage est imité du poète Wang-po : « Ma verve n’est pas<br />

encore épuisée, je vais vider le vin de ma coupe ; la vigueur de mon pinceau<br />

élégant n’est pas encore éteinte ; il faut que j’achève de tuer <strong>les</strong> lièvres de<br />

Tchong-chân. »<br />

82 Le papier, le pinceau, l’encre et la pierre pour la broyer.<br />

83 C’est-à-dire : Yên, doué de hautes lumières.<br />

84 C’est-à-dire : personnage éminent en littérature.<br />

85 La pièce de vers où le poète Song-iu a critiqué la laideur de la femme de<br />

Teng-tou, se trouve dans le recueil intitulé Wén-siouén, liv. XIX, fol. 22.<br />

86 Le lecteur doit s’attendre à trouver dans ces vers la satire des défauts<br />

physiques de Yen. Les trois étoi<strong>les</strong> κ, μ et ξ de la Grande Ourse. El<strong>les</strong> sont<br />

l’emblème des trois Kong, qui étaient des ministres du premier rang.<br />

87 Allusion à l’œil unique de Yên.<br />

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