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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

nom de Niu-tchong-chou (secrétaire féminin du palais.). P’ing-jou-heng semble<br />

dire qu’au lieu de désirer des honneurs terrestres, elle doit tourner ses regards<br />

vers le séjour des immortels (le lac Yao-tch’i), qu’elle est digne de partager. La<br />

déesse Si-wang-mou, célèbre dans la mythologie chinoise, habitait, dit-on, sur<br />

<strong>les</strong> bords de ce lac. Voyez p. 158, note 1.<br />

547 [Cf. note précédente]<br />

548 Il y a en chinois d’un Fa-tsong ; c’est le nom d’un moine du couvent de<br />

Pou-khieou (le couvent de l’assistance universelle), qui, dans le premier acte<br />

de la célèbre comédie Si-siang-ki (l’histoire du pavillon d’occident), dit<br />

plusieurs fois à Tchang-seng : « Je ne comprends pas ce que vous dites, c’est-<br />

à-dire <strong>les</strong> vers que vous chantez. »<br />

549 C’est-à-dire : du moine du couvent de Pou-khieou.<br />

550 Suivant le commentaire du Si-siang-ki, (l’histoire du pavillon d’occident) liv.<br />

VII, fol. 41, l’expression : <strong>deux</strong> lotus qui réunissent leur tête, se dit de <strong>deux</strong><br />

époux qui causent ensemble en s’appuyant sur le même oreiller. Voyez p. 509,<br />

ligne 12.<br />

551 Ici le texte signifie : quel en était l’auteur ? Mais cette question s’accorde<br />

mal avec la réponse de Tchao (Yên-pé-hân). J’ai mieux aimé répéter la<br />

première question qu’elle lui a adressée au sujet des mêmes vers qui se<br />

trouvent plus haut, p. 445.<br />

552 P’an-yo, surnommé ’An-jin, qu’on appelle tantôt P’an-’an, tantôt P’an-’an-<br />

jin, vivait sous la dynastie des Tsîn. Il était doué d’une beauté t ellement<br />

remarquable, que toutes <strong>les</strong> fois qu’il sortait, <strong>les</strong> femmes et <strong>les</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> de<br />

la ville de Lo-yang, follement éprises de lui, remplissaient son char des plus<br />

beaux fruits qu’el<strong>les</strong> pouvaient se procurer.<br />

553 Song-sîn veut dire que Tchang-în, quoique dépourvu de talent, ne peut se<br />

dispenser d’aller rendre visite à Chân-hiên-jin.<br />

554 C’est-à-dire : de voir vos compositions littéraires.<br />

555 C’est-à-dire : le boisseau du nord (la constellation de la Grande Ourse).<br />

Voyez p. 151, note 2.<br />

556 Littéralement : vous offrir ma laideur. Voyez plus haut, p. 525, note 1.<br />

557 Littéralement : sans attendre son char.<br />

558 Littéralement : qu’on avait touché le talon et le pied.<br />

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