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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

son nom en celui de Tchao-tsong ; P’ing-jou-heng, imitant <strong>les</strong> <strong>deux</strong> mots<br />

Tchao-tsong, emprunta (en partie) le sens de l’expression Tsong-hong, et<br />

changea son nom en celui de Tsien-hong.<br />

410 Littéralement : en voyant d’anciens vers, tout à coup elle devient malade<br />

d’amour.<br />

411 C’est-à-dire : la maison de la montagne aplanie.<br />

412 J’ai vainement cherché le nom de Yong-chou dans la Biographie universelle<br />

de la <strong>Chine</strong>. C’était sans doute un auteur contemporain de la personne qui<br />

parle.<br />

413 C’est-à-dire : Tchang-în, surnommé Pe-kong.<br />

414 Nom honorifique de Song-sîn.<br />

415 Ailleurs, elle est appelée Niu-tchong-chou, secrétaire féminin du palais.<br />

416 C’est-à-dire : tout ce qui se rapporte aux préparatifs et aux cérémonies du<br />

mariage.<br />

417 C’est-à-dire : à vous, monsieur Tchang.<br />

418 C’est-à-dire : j’ai lien de lui demander des compositions littéraires.<br />

419 Littéralement : à Wang-tch’ouen de Wang-weï. Voyez p. 175, note 1.<br />

420 Nom d’une maison de plaisance de Chi-lo, le même que Chi-tsong. Voyez p.<br />

175, note 2.<br />

421 En disant ces mots, elle montre la lettre de son père et <strong>les</strong> poésies de<br />

Tchang.<br />

422 La même pièce de vers se trouve p. 225.<br />

423 C’est-à-dire : à obtenir une haute magistrature. Voyez p. 225, note 2.<br />

424 Il y ici une allusion à l’aventure de P’eï-hang, qui rencontra la déesse Yun-<br />

ing près du pont azuré. (Yun-fou-kiun-yu, liv. VI, fol. 61 verso.) Après avoir<br />

passé un jour sur le pont azuré, il se sentit pressé par la soif. Étant entré dans<br />

une maison voisine, il rencontra une vieille femme, à qui il demanda à boire en<br />

la saluant. Celle-ci ordonna à Yun-ing de lui offrir un verre d’eau. P’eï-hang<br />

voulut épouser Yun-ing, mais la vieille femme lui dit : Je vous la donnerai<br />

quand vous aurez trouvé un pilon de jade. » Quelque temps après, il en trouva<br />

un, et l’ayant épousée, il monta au ciel avec elle. (Peï-wen-yun-fou, liv. XVII,<br />

fol. 171.).<br />

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