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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

459 Littéralement : le Chi et le Chou (le livre des vers et le livre des anna<strong>les</strong><br />

impéria<strong>les</strong>, <strong>deux</strong> des cinq livres canoniques).<br />

460 Un bonnet de magistrat.<br />

461 La plus brillante de la constellation de la Grande Ourse. On lui compare <strong>les</strong><br />

lettrés <strong>les</strong> plus distingués. Chân-taï veut dire qu’il a eu la prétention de briller<br />

par son talent littéraire.<br />

462 Allusion aux lettrés que l’empereur Thsîn-chi-hoang-ti faisait périr de la<br />

manière la plus cruelle.<br />

463 Littéralement : de la prendre en pitié, en raison du fard et de la céruse,<br />

c’est-à-dire : parce qu’elle est une faible jeune fille.<br />

464 Les <strong>deux</strong> pièces de vers que l’auteur ne cite pas ici, se trouvent plus bas, p.<br />

486, 487.<br />

465 Voyez plus haut, p. 122, lignes 19 et suivantes.<br />

466 Il est probable, que ces vers étaient écrits en caractères cursifs et abrégés,<br />

appelés Thsao-tseu, que le bonze ne savait pas lire.<br />

467 Tsing-liên signifie le nénuphar bleu ; c’était le surnom du poète Li-thaï-pé.<br />

Voyez p. 316, note 2.<br />

468 Le même que Ssé- ma-siang-jou, poète célèbre qui florissait sous le règne<br />

de l’empereur Hiao-king-ti, de la dynastie des Hân, lequel monta sur le trône<br />

l’an 159 avant notre ère. Sa biographie se trouve dans le Ssé-ki de Ssé-ma-<br />

thsien, liv. CXVII.<br />

469 Comme s’il disait : Cette jeune fille, qui n’a pu recevoir des leçons de Li-<br />

thaï-pé et de Siang-jou, et qui ne sait que manie r le fard et la céruse, n’avait<br />

pas le droit de faire des vers, et a terni ainsi l’honneur des lettres.<br />

470 C’est-à-dire : il faut venir nous trouver, nous qui, par notre talent littéraire,<br />

méritons de devenir tchong-chou (secrétaires du palais). L’expressio n « étang<br />

du phénix » désigne la maison d’un tchong-chou. (Peï-wen-yun-fou, liv. IX, fol.<br />

87.)<br />

471 C’est-à-dire : me disputer le prix du talent littéraire. Voyez plus haut, p.<br />

487, note 1.<br />

472 Littéralement : faire qu’ils s’en retournent comme des rats, en tenant leur<br />

tête à <strong>deux</strong> mains.<br />

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