les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

Les deux jeunes filles lettrées
473 Voyez le second vers de P’ing-jou-heng, p. 487, ligne 4.
474 Voyez plus haut, p. 486, note 3.
475 Voyez p. 242, note 3. Li-thaï-pé florissait sous l’empereur Hiouen-tsong, de
la dynastie des Thang, lequel régna depuis l’an 713 jusqu’en 755.
476 Littéralement : pénétrer jusqu’au pavillon violet et jusqu’à la porte jaune.
477 Voyez p. 4, note 3.
478 C’est-à-dire : vous rende la palme du talent littéraire. Voyez plus haut, p.
487, note 1.
479 Voyez le quatrième vers de Yên-pé-hân, p. 486, ligne 19.
480 C’est-à-dire : je ne prétends point posséder seul la gloire des lettres ; je
désire seulement la partager avec elle. Voyez p. 487, note 1.
481 Allusion à l’ouvrage intitulé Liu-chi-tch’un-thsieou, qui fut jadis suspendu à
la porte du marché de Hien-yang. Voyez p. 234, note 1.
482 Voyez p. 57.
483 Litt. : le (talent) plus court et le plus long.
484 Il y a ici une allusion aux fraudes qui se pratiquent dans les examens où,
malgré les défenses, les candidats apportent furtivement de petits livres qui
peuvent faciliter leur composition. Aussi est-on dans l’usage de les fouiller
lorsqu’ils entrent dans la salle du concours. Plus bas, les deux jeunes lettrés
offrent de se faire fouiller pour montrer qu’ils n’ont sur eux rien de suspect.
485 L’auteur compare Yên-pé-hân et P’ing-jou-heng, qui se disposent à
composer, à deux guerriers qui se préparent au combat. Comme ces deux
lettrés ne luttent point l’un contre l’autre, l’auteur n’a pas cru devoir les
assimiler à deux ennemis contemporains.
486 Allusion au général Tchou-ko-liang, qui, dans la première année du règne
de Han-heou-tchou (l’an 223 de J.-C.), fut nommé régent et administrateur du
royaume. Il avait inventé huit ordres de bataille appelés Pa-tch’in, qui sont
célèbres dans l’histoire militaire de la Chine. Le P. Amiot en a donné les
principales figures dans les Mémoires de Pe-king. Voyez t. VIII, p. 334 et pl.
II, fig. 7, 8, 9 ; pl. III, fig. 10.
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