les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

Les deux jeunes filles lettrées
rester dans le royaume de Thsîn. Mais le roi de Thsîn, loin de le punir, le
congédia après l’avoir comblé de présents. A son retour, le roi de Tchao le
récompensa en lui donnant le titre de Châng-ta-fou.
531 C’est-à-dire : humble.
532 C’est-à-dire : aveugles. On a déjà vu (p. 160, note 1) que les prunelles
s’appellent en chinois yen-tchou (les perles des yeux).
533 C’est-à-dire : qu’ils sont toujours exempts de fausseté ?
534 Voyez p. 181, note 1.
535 C’est-à-dire humble et modeste.
536 Dans la mer du Midi, se trouve la maison des hommes-poissons ; leurs
larmes se changent en perles. ( Dictionnaire P’in-tseu-tsien.)
537 Nom poétique de la résidence d’un sec rétaire du palais impérial. Voyez p.
127, note 1.
538 C’est-à-dire la palme du talent littéraire appartient...
539 Littéralement : à un Siang-jou ou Ssé- ma-siang-jou féminin. Voyez p. 161,
notes 1 et 2.
540 Littéralement : l’ardeur des héros a été courte, l’esprit des jeunes filles a
été long.
541 Littéralement : à la place d’un laid. En chinois, l’expression montrer sa
laideur signifie montrer sa sottise ou son ignorance.
542 P’ing-jou-heng ajoute quatre mots (ho-siu-khi-ma ? qu’a-t-elle besoin
d’être à cheval ?) qui ne pourraient être compris sans une paraphrase. C’est
une allusion à Youen-hong. Voyez p. 75, note 1.
543 Littéralement : se correspondaient comme deux pointes d’aiguilles. Voyez
p. 151, note 4.
544 Littéralement : un œil noir ne s’est pas abaissé à la légère. Voyez p. 278,
note 3.
545 Yên-pé-hân fait allusion au talent littéraire de la jeune fille qu’il a ici en vue
et qu’il avait critiquée. Voyez p. 120, ligne 10.
546 On a déjà vu que l’expression « étang du phénix » désigne la charge de
secrétaire du palais, fonction dont Ling-kiang-sioué avait obtenu le titre sous le
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