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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

441 Littéralement : alors vous sauriez que votre frère cadet (moi) est le barbare<br />

aux yeux bleus du gynécée. Il y a ici une allusion au jeune Ngan-lo-chan qui,<br />

ayant obtenu de l’empereur l’autorisation d’aller et de venir dans <strong>les</strong> parties <strong>les</strong><br />

plus secrètes du palais, demanda la permission de s’appeler le fils de Yang-<br />

koueï-feï (favorite de l’empereur Hiouen-tsong), et finit par se faire aimer<br />

d’elle. (Thong-kien-kang-mou. Hist. des Thang, liv. XLIII, fol. 163.)<br />

442 Littéralement : qui ne savait pas distinguer le bien du mal.<br />

443 Littéralement : il fut effrayé (au point de) tirer la langue.<br />

444 En chinois chin ; elle dure de 3 à 5 heures.<br />

445 M. P’ing, dont le surnom est Tseu-tchi.<br />

446 C’est-à-dire. P’ing-jou-heng, surnommé Tseu-tchi.<br />

447 Le premier de la promotion des docteurs.<br />

448 Le premier de l’Académie des Hân-lîn. (Morrison, Dict., part. II, n° 12503.)<br />

449 C’est-à-dire : sept à huit dixièmes de lieue.<br />

450 Ces doux mots mer et rivière sont une allusion aux <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong>, dont<br />

l’une lui paraît surpasser l’autre par son talent poétique.<br />

451 Il y a dans le texte : mademoiselle Chân, mais c’est évidemment une<br />

erreur. En effet, comme c’est mademoiselle Chân que Yên-pé-hân a vue au<br />

haut du pavillon, l’autre jeune personne qui, suivant son opinion, ne pourrait<br />

lui être comparée sans désavantage, doit être nécessairement Ling-kiang-<br />

sioué, que P’ing-jou-heng avait vue dans le temple de Mîn-tseu. Voyez p. 304,<br />

ligne 15.<br />

452 Voyez p. 219, note 1, et p. 304, ligne 15.<br />

453 Voyez p. 175, note 2, et p. 307, ligne 17.<br />

454 Littéralement : je ne puis me vendre moi- même.<br />

455 Littéralement : sont obscures comme le vernis.<br />

456 C’est-à-dire : à votre père.<br />

457 On a vu, au contraire, p. 225, que ce fut précisément P’ing-jou-heng qui<br />

écrivit <strong>les</strong> vers dont elle parle.<br />

458 Celui qui tient <strong>les</strong> registres de comptes.<br />

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