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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

628 Littéralement : au banquet de la forêt de Khiong (arbres fabuleux dont <strong>les</strong><br />

fruits procurent, dit-on, l’immortalité). C’est le banquet auquel on invite <strong>les</strong><br />

docteurs nouvellement élus. (P’eï-wen-yun-fou, liv. XXVII, fol. 22.)<br />

629 Le concours pour obtenir le doctorat.<br />

630 Littéralement : lier <strong>les</strong> plantes Sse et Lo. Voyez p. 206, note 1. Dans ce<br />

passage-ci, cette expression s’applique évidemment au mari, tandis que le plus<br />

souvent elle se dit de la femme.<br />

631 Il y a ici une allusion à la première ode du Livre des vers, où l’on célèbre<br />

l’union de <strong>deux</strong> époux accomplis.<br />

632 C’est-à-dire : a reçu le grade de docteur.<br />

633 Littéralement : de ce qu’il a promis de lier Tchou et Tch’in. Dans le district<br />

de Fong-hien, dépendant de l’arrondissement de Sin-tcheou, il y avait un<br />

village où <strong>deux</strong> famil<strong>les</strong>, l’une appelée Tchou et l’autre Tch’in, se mariaient<br />

constamment entre el<strong>les</strong>. De là est venue la locution « lier Tchou et Tch’in »,<br />

pour dire « marier <strong>deux</strong> personnes ensemble ».<br />

634 Ling-kiang-sioué croyait P’ing-jou-heng infidèle, et ignorait que pour<br />

l’épouser il eût déjà donné à son père <strong>les</strong> présents de noces. Voyez chap. XIX,<br />

p. 599, ligne 20.<br />

635 C’est-à-dire : après avoir obtenu le grade de Thsin-sse (docteur).<br />

636 Ce mot a déjà été expliqué plus haut, p. 628, note 1.<br />

637 L’examen que passent <strong>les</strong> docteurs pour entrer dans l’Académie des Hân-<br />

lîn.<br />

638 Celui des docteurs qui doit entrer au premier rang dans l’Académie des<br />

Hân-lîn.<br />

639 Celui des docteurs qui doit entrer au troisième rang dans l’Académie des<br />

Hân-lîn.<br />

640 La première de ces charges échut à Yên-pé-hân, et la seconde à P’ing-jou-<br />

heng.<br />

641 Les expressions tchoang-youên et thân-hoa ont été expliquées plus haut, p.<br />

635, notes 1 et 2.<br />

642 Comme s’il disait : « Ils ont décidément une origine divine. » Il y a ici une<br />

allusion au passage suivant de l’ode Song-kao, du Livre des vers (liv. III, sect.<br />

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