03.07.2013 Views

les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

302 C’est-à-dire : à vous. Chi-kiao est le surnom de Youên-în.<br />

303 Littéralement : si vous le considériez uniquement comme un caleçon de<br />

soie.<br />

304 C’est-à-dire : P’ing, surnommé Tseu-tchi.<br />

305 Mon frère aîné (vous), votre jeune frère (moi).<br />

306 Surnom de Youên-în.<br />

307 P’ing-youên était le frère cadet de Hoeï-wên, roi de Tch’ao. Il aimait<br />

beaucoup à recevoir des hôtes, et un jour il en invita trois mille à un<br />

somptueux banquet.<br />

308 En chinois, <strong>les</strong> mots « phénix, dragon, tigre, » désignent un homme d’un<br />

mérite éminent. Suivant le dictionnaire Choué-wên, <strong>les</strong> Chinois considèrent le<br />

tigre comme le roi des quadrupèdes qui habitent <strong>les</strong> montages. De là vient<br />

que, contrairement à nos idées, cet animal est considéré comme l’emblème de<br />

la supériorité. C’est ainsi que Lo-ye était appelé « le tigre de la poésie, » et Li-<br />

yang-ping « le tigre de l’écriture. » Tching-tchang-ssé avait huit fils très<br />

instruits ; ce qui faisait dire que « sa famille possédait une multitude de<br />

tigres. »<br />

309 Deux lieues.<br />

310 Savoir : sur la liste du concours des bacheliers.<br />

311 Le papier, le pinceau, l’encre et la pierre pour la broyer.<br />

312 Voyez p. 175, note 2.<br />

313 Nom honorifique de Tchang-în.<br />

314 C’est un nom que se donnait Thou-fou, l’un des plus célèbres poètes de la<br />

dynastie des Thang, qui s’était établi dans une plaine appelée Thou-ling. (Yun-<br />

fou-kuin-iu, liv. VII, foi. 48.)<br />

315 Kao-yang est souvent cité dans <strong>les</strong> historiens et <strong>les</strong> poètes, par exemple<br />

dans <strong>les</strong> Mémoires de Ssé-ma-thsien et <strong>les</strong> poésies de Li-thaï-pé. Quoiqu’il eût<br />

beaucoup de talent littéraire, il aimait mieux se donner la qualification de<br />

buveur (Thsieou-tou). Il avait huit fils qui étaient tous d’illustres lettrés, et<br />

qu’on appelait Pa-youen (<strong>les</strong> huit chefs, <strong>les</strong> huit coryphées).<br />

316 Il y en en chinois Li, la femelle, et Thou, le mâle, deviennent amis ou font<br />

connaissance ensemble. Il s’agit ici de Thao-li et du Hoang-thou, <strong>deux</strong> chevaux<br />

567

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!