les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

Les deux jeunes filles lettrées
Rosée (la douce) ; au figuré. p. 13, note 10.
Salle de jade (la) ; la salle de l’Académie. Allusion historique. p. 96, note 3.
Sept pas. Cette expression rappelle la facilité poétique de Tseu-kien, ou Tsaotseu-kieu.
Allusion historique. p. 181, note 1 ; p. 507, note 1.
Soie (l’occasion d’un fil de). Sens de cette expression. Allusion historique. p.
433, note 1.
Soie rouge (les cordons de). Allusion à un fait fabuleux. p. 582, note 1.
Suspendus (vers) aux portes du royaume. Allusion historique. p. 254, note 1 ;
p. 397, note 1.
Sycomore (feuille de). Allusion historique. p. 190, note 1.
Tête fourchue, expression dérisoire pour désigner une servante. Origine de
cette locution. p. 192, note i ; p. 384, note 1.
Tigre (le), emblème de la supériorité. p. 287, note 1.
Tube de bambou (vouloir découvrir l’immensité des cieux avec un). Expression
figurée. p. 397.
Tuile (jeter une) et ramener du jade. Expression figurée. p. 181, note 2.
Vallée d’or (la) ; nom d’un jardin célèbre. Allusion historique. p. 175, note 2 ;
p. 403, note 2.
Ventre ; pris au figuré pour la tête, l’esprit. p. 560, note 1.
Verges (apporter des). Allusion historique. p. 257, note 4.
Vers (le livre des), l’un des cinq livres canoniques des Chinois. p. 48.
Vêtement noir (porter un). Sens de cette locution. p. 225, note 2 ; p. 407,
note 2.
Vin (le goût de la poésie et du). p. 368, note 1. p.669
Yeux bleus (le barbare aux) ; surnom donné à Ngan-lo-chan. p. 440, note 2.
Yeux (montrer le blanc de ses) ; montrer le noir (ses prunelles noires) ; au
figuré. p. 178, note 3 ; p. 315, note 2.
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