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les deux jeunes filles lettrées - Chine ancienne

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Les <strong>deux</strong> <strong>jeunes</strong> fil<strong>les</strong> <strong>lettrées</strong><br />

504 Le Thaï-chan, la plus haute montagne de la <strong>Chine</strong>, est situé dans la<br />

province de Chan-tong.<br />

505 On sait que <strong>les</strong> Chinois mangent <strong>les</strong> racines du lotus.<br />

506 Il n’est pas aisé pour nous de sentir la beauté que Chân-taï trouve dans <strong>les</strong><br />

<strong>deux</strong> derniers vers. Je crois que le mot racine fait allusion au rang infime de la<br />

jeune fille vêtue de bleu, et que le mot fleurs de lotus se rapporte aux<br />

brillantes qualités de ses vers.<br />

507 Tong-p’o ou Sou-tong-p’o, nom d’un poète célèbre. Voyez p. 8, note 4, et<br />

p. 271, note 1.<br />

508 Le même que Li-thaï-pé. Voyez p. 259, note 2.<br />

509 C’est-à-dire : Ne vous abaissez pas jusqu’à louer une servante et<br />

m’attribuer un mérite que je n’ai pas, ou me prendre pour une autre.<br />

510 Suivant <strong>les</strong> Chinois, le printemps est l’époque des amours ; de là vient que<br />

l’expression tch’un-i (des pensées de printemps) signifie des pensées<br />

amoureuses.<br />

511 Les Chinois ont coutume d’associer le vent d’Orient à l’idée de printemps<br />

(Li-ki, chap. Youeï-ling). Elle semble dire que <strong>les</strong> tendres se ntiments ne durent<br />

pas toujours.<br />

512 Les expressions fleurs de pêcher, fleurs d’abricotier, sont peut-être une<br />

allusion à elle- même et à Yên-pé-hân.<br />

513 Suivant la glose du Si-siang-ki, liv. VII, fol. 41, cette expression désigne, au<br />

figuré, <strong>deux</strong> époux qui causent ensemble, appuyés sur le mê me oreiller. Chân-<br />

taï semble dire (voyez note 4) qu’il ne doit pas prétendre à sa main.<br />

514 Voyez plus haut, p. 85, ligne 1.<br />

515 Cette locution signifie : concourir avec quelqu’un pour <strong>les</strong> vers ou la prose<br />

élégante, et lui demander ensuite un morceau de sa façon qu’on puisse<br />

considérer comme un modèle.<br />

516 C’est-à-dire : est-ce que <strong>les</strong> soins que je donne à ma toilette ont jamais fait<br />

tort aux compositions poétiques qui tombent de mon pinceau ? Voyez p. 126,<br />

ligne 19.<br />

517 Suivant <strong>les</strong> écrivains chinois, une belle femme est toujours produite par <strong>les</strong><br />

plus pures vapeurs des montagnes et des eaux.<br />

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